LE ROMANTISME ABSOLU

Numero Un - EAN : 9782846121071
SAINT BRIS GONZAGUE
Édition papier

EAN : 9782846121071

Paru le : 22 janv. 2003

24,90 € 23,60 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782846121071
  • Réf. éditeur : 4913604
  • Collection : EDITIONS 1 - LI
  • Editeur : Numero Un
  • Date Parution : 22 janv. 2003
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 372
  • Format : 2.40 x 14.00 x 21.00 cm
  • Poids : 443gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Gonzague, c'est Freud à minuit et Proust le jour retrouvé, Alfred de Musset toute l'année durant, le tout revu par Barnum pour les cirques crépusculaires de notre fin de siècle. Pour l'éternité aussi c'est mon ami, et un écrivain quand sous la manchette se tracent les mots de la main inlassable et magicienne.

    Jean-Edern Hallier


    Prince des royaumes de glace et enfant bondissant des terres du soleil, doué pour l'écoute autant que pour la parole, tantôt rassurant et tantôt inquiétant, et finalement trop entier pour être « scalpélisé », Gonzague, je le sais, n'a pas fini d'étonner un monde qui a perdu le rite des stupéfactions.

    Didier Decoin, de l'Académie Goncourt


    Gonzague Saint Bris dissimule un grand talent sous des masques baroques, des vols de dentelles, des flots de ruban bleu. On le voudrait tantôt plus strict et tantôt plus négligé. Mais quoi. Le temps, les chagrins, les échecs - et on les lui souhaite, avec confiance, aussi légers que possible - suffiront à le rapprocher de lui-même. À l'inverse de tant de gens qui feraient bien de s'éloigner d'eux, il n'a - que c'est simple ! que c'est difficile ! - qu'à avancer à sa rencontre. Voici, en un même bouquet bien inégalement réparti, la critique et l'éloge : le but, pour Gonzague Saint Bris, est de se ressembler.

    Jean d'Ormesson, de l'Académie française


    C'est le seul « personnage » capable d'être fidèle à d'obscurs copains de régiment, une des rares célébrités à aimer aider d'autres à le rejoindre. Par la multiplicité de ses talents, il peut faire penser à Frégoli, mais le dernier masque ôté, on s'aperçoit qu'il est un écrivain rare.

    Jean-Marie Rouart, de l'Académie française


    Élégant, désinvolte, Gonzaque Saint Bris passe, et on a d'abord l'impression qu'il pèse à peine sur la terre. Ne nous y fions pas. Le regard est là, perçant. L'oreille est là, à laquelle rien n'échappe. Gonzague Saint Bris est à l'écoute du monde. Ce qui frappe d'abord chez lui (et ce à quoi on aurait tort de le résumer), c'est cette attention. Dans un temps où chacun s'écoute et n'écoute que soi, cette faculté d'attention est rare.

    Félicien Marceau, de l'Académie française


  • Biographie : Né en Touraine, Gonzague Saint Bris fut tout à la fois écrivain, journaliste et historien. Passionné par l'histoire du romantisme, il est l'auteur de nombreux livres dont Le Romantisme absolu (Editions 1/Stock, 1978), Les Egéries russes (Lattès, 1994) et Je vous aime inconnue (NIL, 1999), Les vieillards de Brighton (Grasset, 2002), d'ouvrages historiques comme Le Coup d'éclat du 2 décembre (Tallandier, 2001) et de biographies de Lafayette, Vigny, Dumas, Balzac et Desaix.
    Il est le fondateur du salon La Forêt des livres, qui acceuille chaque année des écrivains de renom.
    Gonzague Saint Brix est décédé en août 2017 dans un accident de voiture.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.