Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LE CODE DU TRAVAIL EN SURSIS?
Syllepse - EAN : 9782849504796
Édition papier
EAN : 9782849504796
Paru le : 29 oct. 2015
6,00 €
5,69 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782849504796
- Réf. éditeur : S58651
- Collection : NOTES ET DOCUME
- Editeur : Syllepse
- Date Parution : 29 oct. 2015
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Format : 0.60 x 11.50 x 19.00 cm
- Poids : 84gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Le Medef rêve d'un salarié totalement flexible, soumis, sans protection. Ce rêve avance sous le masque souriant du «consensus» et du «dialogue social» entre «partenaires sociaux». Il convient de dévoiler ce subterfuge. La négociation collective est et demeure une source indispensable, essentielle au droit du travail. Mais lorsqu'on prétend la substituer à la loi et aux grandes protections du droit du travail, ce n'est plus de dialogue mais de destruction qu'il s'agit. Cette tendance à la vampirisation de la loi par la négociation collective a déjà permis que de nombreux salariés ne sachent même plus, d'une semaine sur l'autre, à quels horaires ils vont travailler. Aujourd'hui, il est question de poursuivre, voire de parachever, ce mouvement et d'autoriser la destruction non plus seulement des rythmes de travail et de vie, mais la destruction par accord collectif de la représentation du personnel, du droit du licenciement, et finalement de l'ensemble du droit du travail. Cette «Note de la Fondation Copernic» a pour objectif d'ébaucher les voies d'une contre-offensive et de redonner toute sa place au débat démocratique sur les droits des salariés.