GIBIER

Cent Mille Mill - EAN : 9782850713040
PELLEGRIN BERNARD
Édition papier

EAN : 9782850713040

Paru le : 28 févr. 2025

22,00 € 20,85 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782850713040
  • Réf. éditeur : 8957213
  • Editeur : Cent Mille Mill
  • Date Parution : 28 févr. 2025
  • Disponibilite : Disponible
  • Nombre de pages : 280
  • Format : 0.00 x 13.30 x 20.30 cm
  • Poids : 269gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : «Ceux présents rient en le voyant paraître à l’air libre, le visage barbouillé de sang, de larmes et de morve mêlés, un vilain bonnet de guingois sur la tête. Il a trébuché dans l’escalier et a débouché sur la terrasse le nez à vif. Ivre, il titube et semble électrisé par un léger courant, une vibration. Puis une main large le pousse et il crie en tombant. Au pied de l’immeuble, la flaque rouge s’élargit avec des avancées selon la pente. “Il s’était pissé dessus, le dégueulasse !” Ils redescendent, enjambent le corps et montent dans une camionnette qui bientôt s’éloigne. Sur le côté droit, on lit : Couverture - Zinguerie - Crime à la demande.» 
    Bernard Pellegrin a le goût de l’histoire et du fait divers mélangés. Auteur de la trilogie des Temps criminels, dont voici le troisième volume, il aime explorer les méandres de la mémoire collective et tenter l’alchimie avec le polar. Cette fois, il plonge le lecteur dans un noir chaudron qui a commencé à bouillir il y a longtemps à Sparte.
  • Biographie : Bernard Pellegrin, journaliste indépendant, est fier d’appartenir à cette génération qui, de mai 1968 à aujourd’hui, s’est voulue en charge du monde. Mais désolé aussi qu’elle ait pris tant de place, se soit reniée si souvent, ait toujours présenté ses accommodements comme l’exercice de son libre-arbitre.
     
    Force est de constater que le mois de mai a dessiné bien des méandres en parcourant le demi-siècle écoulé. Du jaillissement de ses eaux vives aux sables des deltas. Sans certitude d’y laisser, au mieux, l’empreinte d’un ou deux pas.
     
    Printemps fragile est son troisième livre.
     
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.