Théorie générale de l'oubli

Metailie - EAN : 9782864249467
José Eduardo Agualusa
Édition papier

EAN : 9782864249467

Paru le : 13 févr. 2014

17,00 € 16,11 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782864249467
  • Réf. éditeur : MAI132694
  • Collection : BB PORTUGAIS
  • Editeur : Metailie
  • Date Parution : 13 févr. 2014
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 176
  • Format : H:215 mm L:140 mm E:15 mm
  • Poids : 246gr
  • Résumé :

    Parutions Janvier - Février 2014

    ?? Janvier 2014

    Santiago GAMBOA

    Prières nocturnes

    Bibliothèque hispano-américaine/ 20 ? / 320 p 09/01/2014

    Stéphane FIERE

    Une chinoise ordinaire

    Hors Collection / 20 ? / 320 p 09/01/2014

    Rafael REIG

    Ce qui n'est pas écrit

    Bibliothèque hispanique - NOIR / 18 ? / 240 p 16/01/2014

    Février 2014

    Arnaldur INDRIDASON

    Le Duel

    Bibliothèque nordique - NOIR/20 ?/ 320 p 06/02/2014

    José Eduardo AGUALUSA

    Théorie générale de l'oubli

    Bibliothèque portugaise /17 ?/ 176 p 13/02/2014

    Walter SITI

    Résister ne sert à rien

    Bibliothèque italienne/21 ?/ 320 p 20/02/2014

    ?

    Santiago GAMBOA

    Prières nocturnes

    Bibliothèque hispano-américaine

    Titre original : Plegarias nocturnas

    Traduit de l'espagnol (Colombie) par François Gaudry

    320 pages / 20 euros

    ISBN : 978-2-86424-941-2

    en librairie le 09 janvier 2014

    Manuel, un étudiant en philosophie colombien, est accusé de trafic de drogue et emprisonné à Bangkok. Il risque la peine de mort s'il ne reconnaît pas sa culpabilité, mais sa préoccupation principale c'est de pouvoir revoir sa sour, disparue. Touché par son histoire le consul colombien, mélancolique et amateur de cocktails, se lance à la recherche de la jeune femme pour convaincre Manuel de défendre sa vie.

    Dans une prose limpide teintée de tristesse, ce roman raconte l'histoire d'une femme prête à tout pour défendre son idée de la justice et permettre à son frère de vivre ses rêves, et d'un étudiant qui n'hésite pas à courir le monde pour rechercher la seule personne qui lui a donné son amour. C'est aussi l'histoire d'une famille immergée dans une société violente, une petite-bourgeoisie prisonnière du qu'en dira-t-on et de la fascination pour une richesse inaccessible.

    Formidable raconteur d'histoires, Santiago Gamboa nous emmène à travers le monde sur les traces de son héroïne, passionnée et cynique, qui retourne l'instrumentalisation de sa beauté contre ceux qui veulent l'exploiter et fait d'un amour fraternel une raison de vivre.

    Né en Colombie en 1965, Santiago Gamboa a étudié la littérature à l'université de Bogotá jusqu'en 1985, puis la philologie hispanique à Madrid. Il a été journaliste, puis diplomate au sein de la délégation colombienne auprès de l'UNESCO, à Paris, et conseiller culturel de l'ambassade de Colombie en Inde. Il réside actuellement à Rome. Ses livres sont traduits en dix-sept langues.

    Il est l'auteur, entre autres, aux Editions Métailié de Perdre est une question de méthode, adapté au cinéma, Le Syndrome d'Ulysse et Nécropolis 1209.

    ?

    Stéphane FIERE

    Une chinoise ordinaire

    Hors collection

    320 pages/20 ?

    ISBN : 978-2-86424-942-9

    en librairie le 09 janvier 2014

    Ailing a pu quitter la foule des ouvrières surexploitées grâce à sa beauté et à l'intelligence de son instinct de survie, elle a trouvé son marché : les hommes d'affaires français venus faire fortune à Shanghai et les expatriés au portefeuille bien garni ! Elle vit dans le luxe, est fascinée par l'argent et la consommation, mais gère sa vie comme une femme d'affaires avisée et fait fortune, jusqu'au jour où, engluée dans une dépression, elle décide de quitter Shanghai et les témoins de son ascension. Elle s'installe à Pékin et reprend ses activités à un niveau social plus élevé, mais dans le même vide intellectuel et affectif. Un jour cependant, un voisin très particulier s'installe en face de sa maison.

    Sous la forme d'un monologue interrompu par des conversations téléphoniques, des sms et des mails, Ailing et ses amies nous révèlent une vision d'un cynisme rafraîchissant sur l'eldorado asiatique et sur les mours des hommes d'affaires et diplomates occidentaux.

    Inventif, plein d'ironie, le style de Stéphane Fière rend compte avec brio des alternances du cour de son héroïne. Son récit tout à tour drôle et féroce nous emmène dans une Chine parfaitement vraisemblable, où se jouent les métamorphoses de nos sociétés mondialisées.

    Stéphane Fière vit actuellement entre Paris et Pékin. Il parle le mandarin et s'est toujours inséré dans les communautés chinoises et leurs modes de vie, que ce soit à Taïwan, à Hong-Kong, aux Etats-Unis ou en Chine. Il est l'auteur de La Promesse de Shanghai, Caprices de Chine et Double bonheur (Métailié, 2011).

    ?

    Rafael REIG

    Ce qui n'est pas écrit

    Bibliothèque hispanique - NOIR

    Titre original : Lo que nos está escrito

    Traduit de l'espagnol par Myriam Chirousse

    240 pages/18 ?

    ISBN : 978-286424-943-6

    en librairie le 16 janvier 2014

    Carlos emmène son fils Jorge en montagne pour un week-end entre hommes, c'est sa mère qui l'élève et il le voit très peu. Il le trouve étrange, trop rond, trop bébé pour ses quatorze ans, bref il est déçu par cet ado renfermé et maladroit dont il veut faire un homme, un vrai. Mais dès le début de la balade c'est Carlos qui découvre ses limites physiques et son incapacité à communiquer avec son enfant. Le séjour s'annonce difficile, surtout qu'au chalet les attend la nouvelle petite amie de Carlos, qu'il ne l'a pas dit à son fils et qu'elle n'est pas un modèle de discrétion.

    Carmen restée en ville tombe sur un manuscrit laissé chez elle par Carlos, un polar scabreux et terriblement efficace ; peu à peu elle y voit de drôles de ressemblances avec la réalité, des prémonitions macabres, des menaces à peine voilées contre elle ou contre son fils. L'angoisse monte, les sous-entendus se multiplient. Elle tente d'appeler Jorge, mais Carlos a confisqué son téléphone. Désespéré et humilié le garçon s'enfuit dans la forêt et disparaît.

    On ne lâche plus ce roman parfaitement noir où tout le monde, lecteur inclus, s'échine à lire entre les lignes « ce qui n'est pas écrit », et s'imagine le pire. Thriller psychologique basé sur les rancours et les frustrations, se déployant dans une nature inquiétante sur une trame de film d'horreur habilement construite, ce texte confirme la virtuosité stylistique et l'inventivité narrative de son auteur.

    Ce roman a reçu le prix Pata Negra, remis par la plus célèbre librairie de polars de Barcelone, Negra y Criminal.

    Je recommande avec enthousiasme Ce qui n'est pas écrit, du grand Rafael Reig. Son meilleur roman. Monumental.

    Isaac Rosa, El País

    Rafael Reig est né à Cangas de Onís (Asturias) en 1963. Il a vécu son enfance en Colombie avant de revenir étudier à Madrid. Il a enseigné la littérature aux Etats-Unis et s'est récemment installé comme libraire.

    ?

    Arnaldur INDRIDASON

    Le Duel

    Bibliothèque nordique - NOIR

    Titre original : Einvígið

    Traduit de l'islandais par Eric Boury

    320 pages / 20 euros

    ISBN : 978-2-86424-945-0

    en librairie le 06 février 2014

    Pendant l'été 1972, Reykjavík est envahi par les touristes venus assister au championnat du monde d'échecs qui oppose l'Américain Fischer et le Russe Spassky. L'Américain se conduit comme un enfant capricieux et a de multiples exigences, le Russe est sympathique, il a seulement préféré loger à l'hôtel plutôt qu'à la maison des syndicats où voulait l'accueillir le parti communiste islandais.

    Au même moment dans une salle de cinéma un jeune homme sans histoires est poignardé sans raison apparente. Le commissaire Marion Briem est chargé de l'enquête au cours de laquelle certains éléments vont faire ressurgir son enfance marquée par la tuberculose, les séjours en sanatorium et la violence de certains traitements de cette maladie, endémique à l'époque dans tout le pays. Une enfance qui lui a aussi fait découvrir la solidarité de ceux qui souffrent et l'amitié qui éloigne la mort.

    L'affaire tourne au roman d'espionnage et Marion, personnage complexe et ambigu, le futur mentor d'Erlendur, est bien décidé à trouver le sens du duel entre la vie et la mort qui se joue là.

    Encore un roman d'Indridason qu'il est difficile de lâcher, tant l'ambiance, l'épaisseur des personnages, la qualité d'écriture et l'intrigue sont prenantes.

    Arnaldur Indridason est né à Reykjavik en 1961. Diplômé en histoire, il est journaliste et critique de cinéma. Il est l'auteur de romans noirs couronnés de nombreux prix prestigieux, publiés dans 37 pays.

    ?

    José Eduardo AGUALUSA

    Théorie générale de l'oubli

    Bibliothèque portugaise

    Titre original : Teoria geral do esquecimento

    Traduit du portugais (Angola) par Geneviève Leibrich

    176 pages / 17 euros

    ISBN : 978-2-86424-946-7

    en librairie le 13 février 2014

    Luanda, 1975. À la veille de l'Indépendance, Ludovica, agoraphobe et terrorisée par l'évolution des événements, se retranche dans son appartement en construisant un mur qui en dissimule la porte et la met à l'abri du reste du monde. Ayant transformé sa terrasse en potager elle va vivre là presque trente ans, avec son chien Fantôme et un cadavre, coupée de tout. Ludo a vraiment existé et mené la vie que raconte le roman. En entrelaçant cette histoire avec les aventures tumultueuses des autres personnages, voisins ou entraperçus dans la rue, tous plus ou moins impliqués dans le marasme de la guerre civile, Agualusa souligne avec une ironie subtile les extraordinaires coïncidences de la vie et crée un roman brillant et enchanteur.

    José Eduardo Agualusa est né à Huambo, en Angola, en 1960. Il a étudié l'agronomie à Lisbonne. Il a commencé sa carrière littéraire en 1988 et écrit depuis de nombreux romans traduits dans 20 pays. Son roman Le Marchand de passés (Métailié, 2006) a reçu en Grande-Bretagne l'Independent Foreign Fiction Prize. Le Time Out New York le définit comme un iconoclaste et l'une des voix les plus créatives qui nous arrivent d'Afrique.

    ?

    Walter SITI

    Résister ne sert à rien

    Bibliothèque italienne

    Titre original : Resistere non serve a niente

    Traduit de l'italien par Serge Quadruppani

    320 pages / 21 euros

    ISBN : 978-2-86424-947-4

    en librairie le 20 février 2014

    Ça commence par une scène terrifiante de roman noir, quelque part dans les Marais Pontins, ça se poursuit par un bref essai sur les limites de la prostitution et le rapport au corps des jeunes femmes de l'époque berlusconienne, puis on passe à la chronique de mours ironique chez les people italiens.

    C'est dans ce milieu à la fois puissant et dérisoire que se déroulent les bizarres manouvres d'approche d'un spéculateur financier de haut vol à l'égard du narrateur.

    Jouant sur tous les registres, Walter Siti, l'un des plus grands auteurs italiens vivants, nous attache aux destins croisés d'un fils du petit peuple romain, obèse dans son adolescence, génie des mathématiques, devenu bankster milliardaire, et d'une mannequin qui gère avec maestria le capital de son corps pour protéger son âme. S'appuyant sur une connaissance approfondie aussi bien des mécanismes et du jargon de l'économie numérisée que sur une intime pratique du parler populaire romain, l'auteur nous fait découvrir comment la fameuse zone grise entre les mafias et la haute finance tend à devenir de fait la finance tout court. A travers une galerie de personnages complexes et attachants - dont l'auteur lui-même - nous sommes transportés au cour de ces guerres quotidiennes qui nous concernent tous, dont les champs de bataille sont le sexe et l'argent.

    Résister ne sert à rien a obtenu à une écrasante majorité le Premio Strega, plus important prix littéraire attribué en Italie.

    Walter Siti est né à Modène en 1947. Il a enseigné la littérature à l'École normale supérieure de Pise et dirigé l'édition des ouvres complètes de Pasolini. Deux ouvrages ont été publiés en France chez Verdier : Leçons de nu (2012) et Une douleur normale (2013).

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.