LA SERVITUDE VOLONTAIRE

Arlea - EAN : 9782869597815
LA BOETIE ETIENNE DE
Édition papier

EAN : 9782869597815

Paru le : 7 juin 2007

8,50 € 8,06 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782869597815
  • Réf. éditeur : 821666
  • Collection : RET GRDS TEXTES
  • Editeur : Arlea
  • Date Parution : 7 juin 2007
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 128
  • Format : 1.00 x 11.20 x 18.20 cm
  • Poids : 104gr
  • Résumé :

    Montaigne, au chapitre 28 du premier livre des Essais - " De l'amitié " - prétend que " sa suffisance ne va pas si avant que d'oser entreprendre un tableau riche, poli et formé selon l'art " et qu'il s'est " avisé d'en emprunter un d'Étienne de la Boétie, qui honorera tout le reste de cette besogne ". Cette " besogne " n'étant rien de moins que Les Essais, on est en droit de penser qu'outre les devoirs d'amitié Montaigne manifestait pour le texte de son ami assez de considération pour avoir eu un temps l'idée de l'introduire au beau milieu de son grand ouvre.

    Cette Servitude volontaire, la Boétie l'écrivit " par manière d'essai en sa première jeunesse (dis-sept ans) à l'honneur de la liberté contre les tyrans ".

    En fait, jugeant que ce texte publié et modifié par " ceux qui cherchent à troubler et changer l'état de notre police sans se soucier s'ils l'amenderont [les protestants] ", Montaigne s'est " dédit de le loger ici " pour lui substituer un autre ouvrage de son ami " produit en cette même saison de son âge plus gaillard et plus enjoué " : les vingt-neuf sonnets intégrés au chapitre 29 du premier livre des Essais, pour Madame de Gramont, qui allait devenir la maîtresse d'Henri IV.

    Le sort qui avait empêché l'introduction de La Servitude volontaire dans Les Essais va de même, dans la première réédition, faire disparaître les sonnets de l'ouvre de Montaigne.

    Quant à la lettre que Montaigne écrivit à son père sur la mort de son ami, elle reste un des chefs d'ouvre de la littérature épistolière.

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.