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Le Don du Maître
Samsa - EAN : 9782875932648
Édition papier
EAN : 9782875932648
Paru le : 1 avr. 2021
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- EAN13 : 9782875932648
- Réf. éditeur : 978287593264
- Collection : RECITS
- Editeur : Samsa
- Date Parution : 1 avr. 2021
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 220
- Format : H:205 mm L:140 mm E:25 mm
- Poids : 450gr
- Résumé : La littérature est enseignée dans nos établissements scolaires, mais il arrive à nos écrivains de célébrer l'école. Ce livre s'inspire d'une expérience vécue, voici plus de cent ans, du métier d'instituteur. Avec l'auteur, nous sommes dans la classe de jadis, à la cour de récréation, au réfectoire, au gymnase, à la distribution des prix. Dans cette Belgique d'antan, à la ville comme à la campagne, toute une vie sociale gravite dans et autour de l'école : relations entre maîtres et élèves, jeux et combats d'enfants, réactions de parents, directeurs, inspecteurs cantonaux. Le tout sur fond d'industrialisation, d'exode rural, de colonialisme, d'inégalités quotidiennes et de guerres : la scolaire (interne, sourdement médiocre et pérenne) et bien vite la Grande (faucheuse incomparablement performante).
- Biographie : Désiré-Joseph d’Orbaix (pseudonyme de D.-J. Debouck) est né à Thorembais-les-Béguines (Hesbaye) en 1889 et décédé à Uccle (Bruxelles) en 1943. Parmi les écrivains belges d’expression française, il fut l’un des plus importants de l’entre-deux-guerres. Fils du maître d’école de son village natal, il choisit aussi le métier d’instituteur, qu’il exerça dès l’âge de 19 ans, à Saint-Gilles, pendant une dizaine d’années. Ensuite, il tâta du journalisme à Paris, puis à Bruxelles au journal Le Soir, avant de devenir inspecteur de l’enseignement.<br />Il commença son oeuvre par des contes et fonda avec Alex Pasquier, en 1919, la revue La Bataille littéraire, qui fut publiée jusqu’en 1924. Il opta pour son pseudonyme avec Le Don du Maître, qui le révéla au grand public. Il fut l’auteur de deux romans, Le Temps des coquelicots (1926, traduit en néerlandais) et Le Coeur imaginaire (1943). Néanmoins, il fut plus fécond en ouvrages poétiques : ceux-ci, édités à partir de 1932, lui valurent plusieurs prix littéraires ; retenons surtout Ciels perdus (1932), Le Village envolé (1937), Les Complaintes de l’absence (1941) et Cérès ou l’argile qui vit (publié à titre posthume en 1954). La Commune d’Uccle, où l’écrivain résida de 1925 jusqu’à sa mort, a inauguré une avenue d’Orbaix en 1955. La démarche poétique de l’auteur a été reprise par sa fille aînée, Marie-Claire d’Orbaix (1920-1990), dont l’oeuvre initiale, La Source perdue (1948), fut dédiée à la mémoire de son père.