Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LES CONFESSIONS DE MAX TIVOLI
EAN : 9782879294346
Paru le : 11 févr. 2005
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782879294346
- Réf. éditeur : OLV165158
- Collection : OLIV. LIT.ET
- Editeur : Olivier
- Date Parution : 11 févr. 2005
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 312
- Format : 0.10 x 0.10 x 0.10 cm
- Poids : 501gr
-
Résumé :
Dans la baie de San Francisco, en ce début 1870, la ville est en fête et les canons tonnent. Est-ce parce qu’il est conçu au moment même où l’on dynamite un récif sur lequel s’échouent tous les bateaux depuis un siècle ? Max Tivoli naît avec l’apparence d’un homme de soixante-dix ans, condamné à avancer à reculons, tel un crabe, à l’inverse du monde qui se précipite vers son destin.
C’est à l’adolescence, lorsqu’il s’éprend éperdument d’Alice Levy, que sa vie commence véritablement. Elle devient soudain aussi scintillante et douloureuse que des morceaux de verre. Comment conquérir un cœur de dix-sept ans lorsqu’on en paraît cinquante ?
Suspendu au temps qui fuit et lisse son apparence, ballotté par les bouleversements du siècle naissant, Max Tivoli parcourt le monde, avec la complicité mystérieuse de son ami Hughie, à la poursuite de son amour. Car Alice, comme dans les contes de fées les plus cruels, disparaît dès qu’il parvient à l’embrasser.
Les Confessions de Max Tivoli sont à la fois le récit bouleversant d’un grand amour et une éblouissante chronique du début du XXe siècle, empreints, comme chez Italo Calvino ou Marcel Aymé, d’une dimension merveilleuse. « À l’instar de Proust, Greer présente la vie comme une solitude essentielle, un perpétuel exil du temps présent, une fragile construction de mirages fascinants que seul le génie de la description peut fixer » : John Updike a fait de ce deuxième roman d’Andrew Sean Greer la révélation littéraire de 2004.
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Laetitia Devaux.