Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LA POSITION DU MORT FLOTTANT
EAN : 9782889550456
Paru le : 19 mars 2021
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782889550456
- Editeur : Heros Limite
- Date Parution : 19 mars 2021
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 128
- Format : 1.20 x 13.00 x 19.00 cm
- Poids : 162gr
-
Résumé :
Dernier recueil de poésie publié avant la mort de Jim Harrison, La positions du mort flottant (en anglais Dead man’s float) est un livre qui aborde de front les grands thèmes de la mort, de la vieillesse, du Temps...
Son titre fait référence à une position utilisée par les nageurs pour se préserver lors de longues courses. S’il s’agit bien d’une technique de survie – pour Harrison, celle qui lui permet d’affronter la maladie, les séances de chirurgie, mais aussi d’appréhender l’approche de la mort et la perception de son corps vieillissant, toujours plus faible – les poèmes, pourtant, font bien plus que flotter.
Car Harrison trouve, par l’écriture, un moyen de transformer le négatif en une opportunité d’introspection, de retour à la vie – ce qui le rapproche encore et toujours de l’enfance, les souvenirs, et ce qui reste, encore, au quotidien, pour lui qui sait qu’il n’a plus d’avenir à construire. Alors que la mort approche, il se concentre sur les petites choses de son monde quotidien, sur les souvenirs toujours vivaces qui le séparent, à peine, de son enfance.
Comme s’il pouvait toujours, « soixante-huit ans plus tard (...) habiter le corps de ce garçon sans penser au temps écoulé depuis. » Et comme si la vieillesse, au final, ne faisait rien d’autre que rejoindre l’enfance.