MON FRERE LE CARSO

Heros Limite - EAN : 9782889550760
SLATAPER/DUSSERT
Édition papier

EAN : 9782889550760

Paru le : 3 févr. 2023

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  • EAN13 : 9782889550760
  • Editeur : Heros Limite
  • Date Parution : 3 févr. 2023
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 168
  • Format : 1.50 x 13.10 x 19.10 cm
  • Poids : 178gr
  • Résumé :

    Livre majeur d’un poète mort jeune, Il mio Carso (Mon Karst), publié en 1912 et traduit en 1921 par Benjamin Crémieux sous le titre de Mon frère le Carso, évoque le haut-plateau calcaire qui fait le lien autour de Trieste entre le nord-est italien et le nord-ouest croate. Région à la végétation dense et au relief remarquable, le karst, ou carso, a fasciné Slataper qui en a fait un décor
    envoûtant. Au même titre que Italo Svevo, Umberto Saba ou Claudio Magris, Scipio Slataper est un enfant de Trieste, le plus grand port de l’Adriatique. Une ville que l’on a souvent comparé à une Dublin du sud, et l’on ne s’étonne pas de l’immense poésie qu’a produit ce lieu. C’est la ville du « si », du « ja » et du « da » disait Scipio Slataper, dans ses chroniques. Nous aimons Trieste pour l’âme tourmentée qu’elle nous a donnée, écrivait encore l’auteur...

    Il mio Carso, publié à la Libreria della Voce en 1912, est son œuvre la plus importante, le seul roman de sa brève carrière littéraire, prématurément interrompue par la guerre. Il s’agit d’un parcours au ton lyrique qui forge ce que l’on peut nommer son autobiographie intellectuelle et morale – le livre est prémonitoire puisqu’il paraît onze ans avant La Conscience de Zéno de Svevo (1923) ! D’une écriture d’une grande douceur, le récit témoigne du cheminement de l’auteur, exalté tel un artiste en devenir, confiant en ses capacités et en son égo. Le narrateur sera foudroyé par le suicide de son amante, Anna Pulitzer. Ravagé, il est alors amené à s’interroger sur son existence et à souhaiter un cadre existentiel bâti sur des principes plus essentiels.


    La portée du livre est importante : en 1921, il est traduit en français par Benjamin Crémieux, collaborateur fameux de la revue Europe alors naissante.

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