Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
REPENTIR(S)
EAN : 9782896151127
Paru le : 31 juil. 2021
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782896151127
- Réf. éditeur : 603352
- Collection : POLAR
- Editeur : Alire
- Date Parution : 31 juil. 2021
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Format : 2.20 x 13.50 x 23.00 cm
- Poids : 420gr
-
Résumé :
Dans Repentir(s), l'auteur convie son enquêteur à une exploration du domaine des arts visuels, domaine dans lequel Richard Ste-Marie est un expert.
Un double meurtre a été commis à la galerie Arts Visuels Actuels. Outre Gaston " Faby " Lessard, le propriétaire des lieux, Frédéric Fortier, lieutenant de police à la Ville de Montréal, fait partie des victimes et c'est pourquoi le sergent-détective Francis Pagliaro, de la Sûreté du Québec, est chargé de l'enquête.
En interrogeant les personnes avec lesquelles Lessard avait rendez-vous dans la journée, Pagliaro réalise que le galeriste était loin d'être un enfant de chœur. De fait, les arnaques et les fraudes dont l'enquêteur apprend l'existence au fil des jours le laissent pantois, lui qui avait toujours cru en la noblesse du monde des arts visuels. Or, si les mobiles pour tuer Lessard abondent, c'est l'inverse pour Fortier, un policier près de la retraite et à la carrière irréprochable.
Dès le début, Pagliaro a pris l'habitude de venir chaque soir sur les lieux du crime pour admirer les tableaux de l'exposition d'Andrew Garrison, intitulée Repentirs, ensemble de paysages et de personnages fugaces qui surgissent des palimpsestes picturaux de l'artiste peintre, mais aussi pour réfléchir sur son enquête, dont un des indices ne cesse de l'étonner : pourquoi donc l'assassin a-t-il pris soin de replacer dans son écrin la somptueuse dague, création d'une joaillière représentée par la galerie, dont il s'est servi pour semer la mort ?
Le titre fait référence à une technique utilisée par les peintres lorsqu'ils veulent modifier un trait ou certains éléments d'une toile. Mais peut-on, dans la réalité, corriger les erreurs du passé ?