L'HABITUDE DES RUINES - LE SACRE DE L'OUBLI ET DE LA LAIDEUR

Lux Canada - EAN : 9782898330094
VOYER MARIE-HELENE
Édition papier

EAN : 9782898330094

Paru le : 19 janv. 2022

18,00 € 17,06 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782898330094
  • Réf. éditeur : 89833.0094
  • Collection : LUX
  • Editeur : Lux Canada
  • Date Parution : 19 janv. 2022
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 216
  • Format : 1.30 x 12.10 x 21.00 cm
  • Poids : 258gr
  • Résumé : «Malgré tout, il faut bien écrire et persister. Redire la nécessité de préserver notre patrimoine bâti et notre patrimoine paysager, ces balises de notre mémoire extérieure qui irriguent notre mémoire intérieure. Dans cette éternelle province jalonnée de rivières et de clairières, de boisés et de chemins de traverse, de maisons tranquilles, de lieux de peines et de labeurs, il faut ruser toujours mieux pour résister aux attaques avalantes et aplanissantes des promoteurs qui ne pensent qu’à engloutir l’espace et le bien commun pour leur propre profit.

    Il le faut, car tous ces lieux de ressouvenance dont on ne parlera bientôt plus, tous ces lieux sont à la base de ce que Jacques Ferron appelle notre “orientation”, cette conscience aigüe du temps et de l’espace qui nous protège de l’aliénation.»

    Avec L’habitude des ruines, Marie-Hélène Voyer signe un texte magnifique sur le rapport trouble du Québec au temps et à l’espace. Elle y parle de nos démolitions en série, de notre manière d’habiter ce territoire en nous berçant trop souvent d’images empruntées. Elle pose ainsi une question fondamentale: peut-on bâtir ce pays sans le détruire et sans verser dans l’insignifiance? Son essai offre un plaidoyer pour ces lieux modestes qui forment l’ordinaire de nos vies et qui dessinent les refuges de nos espoirs et de nos solidarités.
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.