Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
De Ledoux à le Corbusier, origine et développement de l'architecture autonome
EAN : 9782915456820
Paru le : 21 janv. 2016
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782915456820
- Réf. éditeur : 839048
- Collection : TEXTES FONDAMEN
- Editeur : Villette
- Date Parution : 21 janv. 2016
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 112
- Format : H:270 mm L:190 mm E:8 mm
- Poids : 338gr
-
Résumé :
Un classique de la théorie architecturale moderne. Publié pour la première fois en allemand en 1933, il postule une continuité entre les grands architectes néoclassiques français (notamment Ledoux) et le Mouvement Moderne.
Publié pour la première fois à Vienne en 1933, l'essai d'Emil Kaufmann proposait une interprétation inédite de l'architecture moderne, non pas comme la cause d'une rupture " avec " le passé mais comme le résultat d'une rupture " dans " le passé : celle qu'ont incarnée les architectes de la période révolutionnaire, au XVIIIe siècle, et en premier lieu Claude-Nicolas Ledoux. L'œuvre de ce dernier marquerait le dépassement du principe baroque de l'" enchaînement " du tout et des parties, et donc le passage à une architecture autonome : indépendance des parties d'un édifice et des édifices entre eux, liberté des dispositions intérieures, recours à une géométrie élémentaire. Déterminées par une logique essentiellement tectonique, les formes de l'architecture peuvent alors se libérer de lois qui lui sont étrangères, comme celles des Ordres ou celles du Beau absolu. Selon Kaufmann, l'œuvre de Ledoux n'a plus rien de commun avec le néo-classicisme de ses contemporains et sa parenté avec l'architecture du XXe siècle n'est ni formelle ni accidentelle. De Ledoux à Le Corbusier n'est pas une recherche sur la généalogie ou les sources du Mouvement moderne à des fins de légitimation mais un essai théorique et prospectif. Comme l'indique Hubert Damisch dans sa préface, Kaufmann s'interroge sur ce qui constitue l'architecture, non seulement en objet d'histoire mais aussi en objet de pensée.
2e tirage.