Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LA GRANDE DEGLINGUE - DE L'USAGE JUDICIEUX D'UN PATRIOTISME AVEUGLE ET ECONOMIQUEMENT RENTABLE
Perseides - EAN : 9782915596540
Édition papier
EAN : 9782915596540
Paru le : 25 févr. 2009
19,90 €
18,86 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782915596540
- Réf. éditeur : 177974
- Collection : LA LUNATIQUE
- Editeur : Perseides
- Date Parution : 25 févr. 2009
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 324
- Format : 2.60 x 13.00 x 21.00 cm
- Poids : 382gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : « Ce genre d'alerte glaçait l'échine de tous les bipèdes qui se trouvaient sur le front. Tous avaient entendu parler de l'attaque d'Ypres au mois d'avril précédent. Les fridolins avaient utilisé des vagues dérivantes de chlore. Le gaz moutarde avait attaqué les éponges de 20 000 gonzes et en avait rectifié fissa 5 000. Sans parler des pauvres bestioles qui avaient trinqué : les taupes, lapins et rongeurs de toutes sortes qui se planquaient au fond de la terre pour échapper à la bêtise humaine avaient été enfumés et étaient sortis crever à l'extérieur. Après le bombardement, les brancardiers qui avaient chômé sur le champ de bataille, tant les rescapés étaient rares, avaient été stupéfaits par le nombre de cadavres de bêtes qu'ils y avaient trouvé. Un massacre impeccablement mené, d'autant plus qu'on racontait encore l'histoire des survivants qui en avaient tant bavé des ronds de chapeau que certains s'étaient fait sauter le caisson pour ne plus endurer des souffrances par trop inhumaines. »