Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
STOREYVILLE
EAN : 9782916207360
Paru le : 14 nov. 2009
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782916207360
- Editeur : Ca Et La
- Date Parution : 14 nov. 2009
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 38
- Format : 1.00 x 28.50 x 41.00 cm
- Poids : 918gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
"La première fois que j’ai lu Storeyville a été l’un des moments clés de ma vie d’auteur de bandes dessinées, je considère ce livre comme l’une des étapes importantes du développement de ce medium."Extrait de la préface de Chris Ware
Initialement auto-édité par Frank Santoro en 1995 au format des quotidiens américains et sur papier journal, Storeyville a été encensé dès sa parution par les principaux auteurs de la bande dessinée indépendante américaine, et notamment Chris Ware, Seth et David Mazzuchelli. Storeyville décrit la quête initiatique de Will Good, un jeune hobo issu de l’Amérique de la Grande Dépression. Condamné à la débrouille, acoquiné avec des petites frappes, et coincé dans les faubourgs de Pittsburgh, Will est impatient de déguerpir à la première occasion. Lorsqu’il apprend que son ancien mentor - un noir américain appelé Révérend Rudy - a été aperçu à Montréal, Will s’embarque dans une traversée de l’est des Etats-Unis.
Storeyville est construit sur la trame du traditionnel récit d’apprentissage en hommage aux grands auteurs classiques américains. Storeyville fait ainsi écho aux nouvelles de Mark Twain, John Steinbeck et Jack London. Au regard du relatif classicisme de la trame de l’histoire, le dessin de Storeyville est étonnamment avant-gardiste. Les illustrations et la composition des pages, réalisées dans un style brut qui tend parfois vers l’abstraction, s’inspirent à la fois des principes de l’improvisation jazz et de l’écriture automatique.