LES SAUCISSES DE L'ARCHIDUCHESSE

Matiere - EAN : 9782916383682
TRAPIER STEPHANE
Édition papier

EAN : 9782916383682

Paru le : 21 oct. 2022

12,00 € 11,37 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782916383682
  • Collection : IMAGEME
  • Editeur : Matiere
  • Date Parution : 21 oct. 2022
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 48
  • Format : 0.50 x 15.00 x 21.10 cm
  • Poids : 100gr
  • Résumé :

    Qui n’aimerait remonter le cours de sa vie pour « revenir du côté de chez Swann », comme le chanta si joliment Dave ? Retrouver son premier amour, naturellement. Mais pourquoi pas, également, le charcutier de l’avenue de Paris ?

    C’est ce que propose sans ambages ni fausse pudeur Stéphane Trapier dans Les Saucisses de l’archiduchesse, premier fascicule d’une série qui promet de devenir culte, « La vie de mon père ». Le père en question, il est vrai, n’est pas n’importe qui. Les fidèles lecteurs de Fluide glacial le connaissent déjà pour l’autre série en bande dessinée dont il fut la vedette, « Giscard et ses amis ». Quant aux autres, ils l’ont croisé sans le savoir, s’engouffrant incognito dans sa Giscardmobile en compagnie de Giscarda, sur le parking de quelque centre E.Leclerc en région. Grand seigneur mythomane, philosophe terre-à-terre, trublion ténébreux, Giscard n’est jamais en reste d’une considération péremptoire ou d’une déclaration intempestive — qu’on en juge : « Il y a trop de photos de gosses, et absolument pas assez de photos de moi dans le grand album de la vie, c’est absurde. »

    Tout ça pour dire que Stéphane Trapier a un père comme on n’en fait plus, ou (peut-être plus exactement) que Stéphane Trapier a un père comme seuls quelques fils en fabriquent encore. Et que cette fabrique a pour nom tendresse et qu’elle se drape de nostalgie.

    À noter : le dessinateur Jacques Floret est l’invité spécial de ce pulp collector à tirage limité.

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.