POURQUOI JE DETESTE NOEL

Wombat - EAN : 9782919186068
BENCHLEY/WILLEM
Édition papier

EAN : 9782919186068

Paru le : 20 oct. 2011

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  • EAN13 : 9782919186068
  • Réf. éditeur : 919186.068
  • Collection : LES INSENSES
  • Editeur : Wombat
  • Date Parution : 20 oct. 2011
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 96
  • Format : 0.90 x 12.50 x 18.70 cm
  • Poids : 112gr
  • Résumé : « Mon nom est Mortimer, George Pearson Mortimer. Tout un tas d’idiots m’appellent “Père Noël”, ce qui me rend dingue. Le Père Noël, ben voyons ! Tout ça parce qu’une année, il y a longtemps, je m’étais un peu saoulé, j’avais loué un traîneau avec quelques rennes et fait le tour de la ville en jetant des cadeaux dans les cheminées. Je me suis fait arrêter au croisement de State et de Market. Et quand ils m’ont emmené au poste, je n’ai pas voulu donner mon vrai nom, alors j’ai dit “Père Noël” – sur le coup, j’ai trouvé ça drôle. Si vous saviez les ennuis que j’ai pu avoir à cause de cette histoire !… »



    Douze textes à l’humour ravageur signés par le maître américain du nonsense. Un livre salutaire à lire (et à offrir) avant Noël (pour s’y préparer), pendant Noël (pour le supporter) ou après Noël (pour s’en remettre).



    « Le dosage parfait entre loufoque et ironie sociale. L’humour de Benchley est plus moderne que jamais. C’est une immense référence pour moi. » (David Foenkinos)

    Chroniqueur humoristique, Robert Benchley (1889-1945) publia ses textes dans les plus prestigieux magazines de son époque, de Vanity Fair au New Yorker. Dès 1928, il fut aussi l’un des premiers comiques du cinéma parlant et reçut un Oscar pour son film intitulé : Comment dormir ? Membre fondateur du « cercle vicieux » de l’hôtel Algonquin avec sa grande amie Dorothy Parker, il fit les quatre cents coups, de New York à Hollywood, en compagnie de joyeux drilles tels Ernest Hemingway et Errol Flynn.

    Maître de l’humour décalé et absurde, admiré par ses pairs, de Stephen Leacock à Woody Allen, Robert Benchley demeure l’un des écrivains américains les plus drôles du xxe siècle.
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