Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
L'Art de péter
EAN : 9782940718313
Édition papier
EAN : 9782940718313
Paru le : 15 nov. 2023
13,00 €
12,32 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782940718313
- Date Parution : 15 nov. 2023
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 140
- Format : H:180 mm L:110 mm E:11 mm
- Poids : 129gr
- Résumé : Fleuron de la littérature scatologique de salon du XVIIIe siècle, L'Art de péter, de Pierre-Thomas-Nicolas Hurtaut paraît en 1751 à l'adresse fictive de Florent-Q, rue Pet-en-Gueule, au Soufflet, en Westphalie. Dans cet ouvrage flatulent, Hurtaut (1719-1791) parodie avec virtuosité les traités scientifiques de son temps. On découvrira ainsi toute une taxonomie des pets classifiés notamment selon leurs propriétés olfactives et auditives mais aussi grâce à de précieuses sources littéraires, à l'instar de l'aventure de Priape et les sorcières relatée par Horace. Au terme de ces pages pleines de matières, vous serez à même de distinguer un pet de demoiselle, un pet de maçon ou celui d'un géographe. Cet écrit saugrenu, devenu, par la force des choses, un classique en la matière, attirera non seulement les scientifiques en herbe, mais sera surtout le cadeau par excellence pour dérider son hôte et apporter une touche d'à propos lors d'une invitation.
- Biographie : Curieux écrivain, dont on ne connaît que peu de choses : Pierre-Thomas-Nicolas Hurtaut (1719-1791), fut professeur de latin à l’école militaire de Paris. La lecture de ses ouvrages nous enseigne toutefois qu’il avait un certain goût pour l’ironie, comme en témoigne son Coup d’œil anglais sur les cérémonies de mariages (1750), et un intérêt marqué pour les pastiches de traités médicaux ; après le succès de son Art de péter, il sévit à nouveau en publiant un Essai de médecine sur le flux menstruel (1754).