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LA BRETAGNE, FLAUBERT, DU CAMP ET MOI - UNE INVITATION A VOYAGER AUTREMENT
EAN : 9782958653927
Édition papier
EAN : 9782958653927
Paru le : 23 mai 2023
39,00 €
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- EAN13 : 9782958653927
- Réf. éditeur : 56053
- Collection : RELIRE LE MONDE
- Date Parution : 23 mai 2023
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 320
- Format : 0.00 x 16.00 x 23.00 cm
- Poids : 630gr
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Résumé :
Quand Gustave Flaubert et Maxime Du Camp partent explorer la Bretagne, ils ont respectivement 25 et 26 ans. De leur périple “par les champs et par les grèves”, les deux écrivains voyageurs, tour à tour historiens, journalistes, guides touristiques, chroniqueurs et même écolos avant l’heure, rapportent un récit passionnant que nous avons largement enrichi et illustré.
Totalement atypique, entre livre de voyage et guide touristique, La Bretagne, Flaubert, Du Camp et moi mêle passé et présent, narration au long cours pour rêver et formats courts pour s’informer. Le tout complété d’un Carnet de curiosités donnant des clés de compréhension de la destination. Avec une ambition : renouer avec l’imaginaire du voyage et le frisson de la découverte. - Biographie : À l'époque de ce voyage en Bretagne, Gustave Flaubert, qui deviendra l’un des plus grands écrivains français du XIXe siècle, a 26 ans et n'a écrit que quelques nouvelles ainsi qu’une ébauche de L’Éducation sentimentale. Plusieurs crises d’épilepsie et les décès successifs de son père et de sa jeune sœur incitent donc Gustave Flaubert à changer d’air en compagnie de Maxime Du Camp, rencontré à Paris en 1841 pendant ses – courtes - études de droit. D’un an son cadet, ce dernier sera vite oublié malgré ses nombreux essais, récits autobiographiques, romans et poèmes et son titre d’Académicien. Cette belle expérience, les deux amis vont la retenter ensemble à partir de 1849 pour un long voyage en Orient qui s’étirera jusqu’en 1851. Egypte, Liban, Palestine, Asie Mineure, Grèce et Italie nourriront comme la Bretagne leurs futurs récits : « Le Nil » pour Maxime Du Camp et « Voyage en Orient 1849-1851» pour Flaubert. « Donnez au moins à mes narines le parfum de tous les vents de la terre, laissez s’en aller mes yeux vers tous les horizons », seront ses mots, magnifiques, pour exprimer sa nouvelle passion pour les voyages.
