NEJAD DEVRIM - LA DERNIERE BOHEME

El Viso - EAN : 9788412527827
SCORDIA CLOTILDE
Édition papier

EAN : 9788412527827

Paru le : 7 sept. 2023

30,00 € 28,44 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9788412527827
  • Réf. éditeur : 976613
  • Editeur : El Viso
  • Date Parution : 7 sept. 2023
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 127
  • Format : 1.90 x 25.40 x 29.00 cm
  • Poids : 1.093kg
  • Résumé : Un jeune peintre turc d'à peine vingt-cinq ans au talent éclatant et à la personnalité éblouissante s'impose comme l'une des révélations du Paris d'après-guerre. Nejad Devrim, né en 1923 à Istanbul, séduit autant par la richesse de sa peinture que par son charme personnel. Il devient un habitué du salon d'Alice B. Toklas, compagne de Gertrude Stein. Clotilde Scordia s'est lancée sur la trace de ce dandy génial qui, après avoir enthousiasmé Paris et New York, disparut en Pologne.

    Pour Georges Boudaille, l'oeuvre de Nejad Devrim (1923 - 1995) se comprend comme une recherche du point de jonction entre l'héritage islamique et l'art occidental. Arrivé à Paris en 1946, il vient se confronter à la modernité et se lance à corps perdu dans la grande aventure de la Seconde École de Paris. Son travail, imprégné d'héritage oriental qu'il ne reniera jamais, se tourne résolument vers l'abstraction. Dès l'année suivante, une galerie lui consacre une exposition personnelle et, en 1950, il est choisi par le galeriste Sidney Janis pour exposer à New York avec Pollock et de Kooning.

    Jusqu'à la fin des années 60 il continuera d'exposer, de voyager en Europe, aux États-Unis, en Asie centrale et en Union soviétique, fondera avec le critique Charles Estienne le Salon d'Octobre, se liera d'amitié avec de nombreux autres artistes et particulièrement Sonia Delaunay dont il sera très proche.

    Quand il choisit à sa façon de tourner le dos au succès, de quitter Paris et de s'exiler en Pologne, c'est l'un des plus brillants et singuliers artistes de l'abstraction qui s'éclipse. Malgré cet effacement volontaire, il sera toujours reconnu comme un artiste déterminant.

    Sa peinture frappe immédiatement par la richesse de ses couleurs et de ses constructions, d'une force d'apparence presque brutale mais toujours maîtrisée. À la veille du centenaire de sa naissance, voici une monographie très attendue.

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.