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LA NUIT - AIR DE FELICIEN DAVID TRANSCRIT POUR ALTO ET PIANO
Artchipel - EAN : 9790560250083
Édition papier
EAN : 9790560250083
Paru le : 11 sept. 2022
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- EAN13 : 9790560250083
- Réf. éditeur : ART-008-3
- Editeur : Artchipel
- Date Parution : 11 sept. 2022
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 4
- Format : 0.20 x 31.50 x 22.00 cm
- Poids : 83gr
- Résumé : La Nuit est une transcription pour alto et piano d’un air de Félicien David (1810-1876).
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Biographie :
Son père, luthier et violoniste amateur, lui donne ses premières leçons de violon. Il se produit en public dès l’âge de six ans, et en l’espace de deux ans il est acclamé pour ses interprétations d’un concerto de Rode, ainsi que d’un double concerto pour violon de Kreutzer, qu’il joue avec son professeur. Après des études à Bruxelles, il se rend avec son ami Charles-Auguste de Bériot à Paris, où ses débuts comme violoniste sont remarqués. Il revient un an plus tard à cause de l’instauration de la monarchie de Juillet et du mariage de Bériot.
Revenu à Bruxelles, Vieuxtemps perfectionne sa technique. Au cours d’un voyage en Allemagne en 1833, il noue des liens d’amitié avec Louis Spohr et Robert Schumann, qui le comparent à Paganini. L’hiver 1835-1836, il suit des études de composition à Vienne chez Simon Sechter, et à Paris avec Antoine Reicha.
Sa première composition, publiée plus tard comme Concerto n° 2, date de cette période. En 1837, devant un public très attentif, il joue son Concerto n° 1 à Saint-Pétersbourg. Résidant à Paris, il continue avec grand succès son travail de composition.
Après un voyage en Amérique en 1843-1844, il se marie la même année avec la pianiste viennoise Josephine Eder.
Deux ans plus tard, il part pour six ans en Russie, comme musicien à la Cour de Nicolas Ier, et comme soliste au Théâtre impérial. À l’époque où il exerce cette fonction, il compose quatre concertos pour violon. Il fonde l’école de violon du conservatoire de Saint-Pétersbourg. En 1850, il est à nouveau professeur à Bruxelles — son élève le plus illustre est Eugène Ysaÿe. Mais, deux ans après seulement, il s’installe près de Francfort, et en 1866, on le retrouve une fois de plus à Paris, poursuivant sa carrière internationale. Six ans plus tard, en 1871, il retourne en Belgique et redevient professeur au conservatoire de Bruxelles.
En 1873, alors qu’il déborde d’énergie et de force, il est victime d’une attaque qui le laisse partiellement paralysé, ce qui le force à abandonner ses activités de violoniste. Malgré une amélioration temporaire, il quitte à jamais le Conservatoire et confie alors sa classe de violon à Henryk Wieniawski. Il passe ses dernières années à Paris et à partir de 1879 dans un sanatorium à Mustapha (une ancienne commune d’Alger), en Algérie, où sa fille vit avec son mari. Il continue à composer, frustré de devoir laisser interpréter ses œuvres par d’autres solistes.
Vieuxtemps fut d’abord considéré comme un grand virtuose. Aussi a-t-il quelque difficulté à se faire une place parmi les compositeurs marquants du xixe siècle. Pourtant, Hector Berlioz lui-même loua « la beauté et la structure intelligente » de ses œuvres, reconnut son inspiration passionnée et sensible, et déclara : « S’il n’était pas un si grand virtuose, on l’acclamerait comme un grand compositeur. » L’émotion dans son œuvre est nettement plus importante que l’effet.