Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
EXPOSITIONS ARTISTIQUES DE L AFRIQUE FRANCAISE (1928-1956) - DICTIONNAIRE DES ARTISTES ET DE LEURS O
EAN : 9791030010671
Paru le : 2 mai 2024
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791030010671
- Collection : LES CAHIERS DU
- Editeur : Pu Bordeaux
- Date Parution : 2 mai 2024
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 392
- Format : 2.50 x 16.20 x 21.10 cm
- Poids : 614gr
-
Résumé :
Les Expositions artistiques de l’Afrique française se sont déroulées de la fin des années vingt au milieu des années cinquante, essentiellement en Afrique du Nord, regroupant des artistes actifs sur place. Ce dictionnaire revient sur cette histoire.
Les Expositions artistiques de l’Afrique française demeurent des manifestations culturelles encore méconnues. Conçues à l’initiative du gouvernement de l’Algérie, des résidences de Tunisie et du Maroc, elles sont organisées sous la houlette de personnalités actives sur ces scènes artistiques coloniales. Se déroulant durant près de trente ans, essentiellement en Afrique du Nord, elles ont regroupé des artistes actifs sur place. Beaucoup sont des métropolitains de passage ou ayant fait le choix de s’installer durablement. Figurent aussi des hommes et des femmes issus de familles de colons ou autochtones, arabes, berbères ou juifs. Si certains artistes – tels les lauréats de prix métropolitains ou de bourses de voyage – bénéficient hier et aujourd’hui d’une redécouverte, la plupart ont une faible notoriété. D’aucuns s’inscrivent dans une histoire de l’art corrélée à leur pays d’origine. Ce prisme historique éclaire sous un autre jour le souhait des organisateurs de faire acte de propagande, – politique et touristique – tout en valorisant un art qui serait « authentiquement » africain, produit par des artistes coloniaux ou non, à la suite du processus de colonisation. Les beaux-arts, par leur modernité supposée, incarnent la spécificité d’une entreprise qui ne néglige pas pour autant une dimension plus traditionnelle s’incarnant dans les arts décoratifs, voire dans ce qu’on appelait « l’art indigène ».
Conçu à partir de catalogues souvent inédits et en mains privées, cet ouvrage poursuit une recherche entreprise il y a un peu plus d’une vingtaine d'années sur les expositions et les salons coloniaux. Il prolonge la publication de dictionnaires d’artistes métropolitains ayant participé à ces manifestations. Il a pour ambition d’enrichir la documentation relative à ces artistes actifs dans les colonies françaises, tout en contribuant à construire une indispensable histoire de l’art de la colonisation.