Kara sou

Sydney Laurent - EAN : 9791032610312
MANDIN
Édition papier

EAN : 9791032610312

Paru le : 16 mars 2023

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  • EAN13 : 9791032610312
  • Editeur : Sydney Laurent
  • Date Parution : 16 mars 2023
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 279
  • Format : H:220 mm L:150 mm E:20 mm
  • Poids : 402gr
  • Résumé : Florès ne comprend pas ce qui lui arrive, il pense à Tchouang Tseu et à sa Randonnée Spirituelle : « Mais quant à ceux qui se laissent emporter par les énergies sans mélange du féminin et du masculin et savent conduire comme des attelages les six énergies composites pour s’ébattre dans l’illimité, ceux-là, de quoi dépendraient ils encore ? »
    Il se demande, où va Marie Madeleine à travers ses chères brumes. Le rejoindre sous le Pont Neuf ?
    « Le parfait voyageur ne sait où il va ; le parfait contemplateur ignore ce qu’il a devant les yeux… » Rappelle Lie Tseu.
    Yin, principe froid et humide…
    Kara Sou est rivière noire, ombre et hiver. Elle est le féminin même. Emmanuel, bois vert, chaleur douceâtre, lumière…et l’autre ? Ne pas dire son nom !
    Tous les personnages sont en lui, ils le quitteront petit à petit ; la lente mutation des filialités s’achèvera. Ils vont cesser d’avoir le même Amour pour ancêtre commun. Ils vont être obligés de concevoir un sentiment propre à leur érotique, qui sera leur père, qui sera leur mère ? Ce sentiment rendra sympathique les deux sexes l’un à l’autre, s’offrant sans se donner. Emmanuel est il vraiment le fils de Marie ? Cette question n’empêche pas Marie d’être sa mère… Toutes les mères seraient-elles des Marie Madeleine, figure de Marie consommée ?
    Il perdra sa fin, quelque chose lui aura échappé, ce n’est pas une raison pour lui voler sa mort, de faire apparaître la Vierge Marie avec le même visage que Marie Madeleine des brumes…
    Le romancier ne veut pas qu’il aille mourir en Chine. Sous le Pont Neuf toutes les pages des livres se sont mélangées.
    La vraie question est la mise en œuvre de la lecture, écrire n’est rien si le lecteur ne trouve pas le bon trajet de la lecture, qui n’est pas forcément celui de la pagination. N’est-ce pas là l’histoire du croire ?

    (…)
  • Biographie : MANDIN est un authentique parisien. C’est au Select que je le rencontre après avoir découvert plusieurs recueils de ses poèmes. Sa stature imposante, son élégance et son raffinement naturel, son regard clair et percutant, ne peuvent qu’appartenir au gentleman qui se trouve devant moi. Tour à tour proche ou distant, observateur ou provocateur, séduisant ou déconcertant, posant des énigmes ou s’imprégnant de l’air du temps pour y puiser les fragrances de cette société qui l’entoure, Mandin l’insaisissable n’appartient qu’à lui-même. Ainsi, je découvre l’homme à l’image du Poète qui m’était devenu familier pour l’avoir tant lu et relu. Le Poète laisse aujourd’hui dans ma mémoire et mon être les traces indélébiles d’une prose étonnante, incontournable qui a su rencontrer mon âme : ses encres de tanin écrivent sur nos pages… L’ensemble de ses recueils est une véritable aventure poétique où « l’écouter voir », « le faire » et ses « humeurs nodales » nous transportent dans le monde du Désir, des Destins et du sens lumineux de la mélancolie d’un jour de pleine lune. Seul l’écrivain mettant l’âme au service du corps peut amener la femme romantique à effleurer la sensualité, la femme érotique à accéder au rêve. Mandin, vos poèmes dédiés à la femme, sont à la frontière de ces deux mondes passant subtilement de l’un à l’autre et vous plongez son cœur dans le désir en mettant son esprit en désordre. « En connaisseuse, tu pénètres avec effraction dans mon émoi. Installée au bar des idées saugrenues, tu déposes sur ma main un baiser floral, dans mes yeux, une aurore boréale. » Elisabeth Chaizemartin-Chabrerie.
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