Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
MAEREVE, LIVRE II - LA DOUGUE EST UNE DIGUE
Librinova - EAN : 9791040521723
Édition papier
EAN : 9791040521723
Paru le : 2 janv. 2023
24,90 €
23,60 €
Epuisé
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791040521723
- Réf. éditeur : 7174234
- Editeur : Librinova
- Date Parution : 2 janv. 2023
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 463
- Format : 0.00 x 15.60 x 23.40 cm
- Poids : 709gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Il faisait très chaud sur cette terrasse surplombant le lac de lave qui irradiait. Marllo s'approcha de l'oeuf qui avait la taille d'un fût de vin. Il était d'un noir profond, plus noir encore que la nuit la plus noire... Il était recouvert d'une substance huileuse qui réfléchissait la lumière du soleil. Il frotta ses doigts qu'il avait posés sur la surface : ils étaient secs. Il avait aussi ressenti comme une légère vibration dans la main. Un picotement à peine perceptible qui s'était transmis, par le bras et l'épaule, jusqu'à sa tête... La fissure s'élargit... Un trou se forma, puis un bout de chair noire souffla à travers le trou. La jeune tarasque était en train de briser la coquille de son oeuf, comme n'importe quel poussin. Marllo s'affola, il fallait partir, se sauver tant qu'il en était encore temps, remonter le plus vite possible sur le bord du cratère qu'il avait imprudemment quitté. Il se précipita vers la corde et débuta son ascension. Mais il avait à peine saisi une première prise, une touffe d'herbes, que des images se dégagèrent dans son cerveau : des doigts, nettement formés avec leurs ongles et leurs phalanges, et ces doigts dessinaient un signe qu'il connaissait parfaitement. C'était un de ces signes qu'Aloys et lui avaient inventés. Il disait : « frère/soeur ».