Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Le Saint de Toulouse Père Marie-Antoine
Pech - EAN : 9791090801257
Édition papier
EAN : 9791090801257
Paru le : 10 oct. 2018
14,00 €
13,27 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791090801257
- Réf. éditeur : PEC0036
- Editeur : Pech
- Date Parution : 10 oct. 2018
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 108
- Format : 0.80 x 15.00 x 20.00 cm
- Poids : 115gr
- Résumé : « En plein XIXe siècle, le P. Marie-Antoine apparut comme un moine du Moyen-Âge, un de ces moines à la haute vertu, au verbe puissant qui laissèrent sur le monde troublé un long sillage de lumière. Sa génération resta en arrêt devant cet étrange figure à la fois séduisante et rude, et fut profondément marquée par son passage. Il renouvela les gestes des grands apôtres. » C'est par ces mots que son biographe et contemporain, le P. Ernest-Marie de Beaulieu, commence sa sixième, courte, biographie de son aîné, parue en 1946. Une image du missionnaire capucin telle qu'elle était encore véhiculée entre les deux guerres. On comprend mieux l'idée de Raymond Praviel (1875-1944), poète mystique à la fois journaliste et conférencier, comédien et romancier, qui eut son temps de célébrité, d'écrire en 1926 ce mystère, un genre très répandu au Moyen-âge et éminemment populaire. Peu joué, sinon à Toulouse au Jardin Royal en mai et juin 1926, il fut publié en 1935 aux Éditions Privat. La pièce est bien construite, passant tour à tour de la comédie au drame, d'un apostolat difficile mais encore bon enfant dans la banlieue toulousaine, au tragique des dernières années de la vie du Capucin, depuis l'expropriation et l'exil des religieux en 1903 jusqu'à sa mort en 1907, résistant dans son couvent solitaire et glacé. Au-delà de quelques outrances dues au genre, les situations mises en scène ont existé, les réparties sont souvent reprises mot pour mot. Il était donc intéressant, pour répondre à des interrogations légitimes, de les confronter aux sources historiques en en précisant les références. Tel est l'objet, en fin de volume, de la contribution minutieuse de Jacqueline Baylé.