Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
PRISONS - 67065
EAN : 9791092388053
Paru le : 13 janv. 2015
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791092388053
- Collection : 24X36
- Editeur : Neus
- Date Parution : 13 janv. 2015
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 432
- Format : 4.10 x 18.20 x 23.20 cm
- Poids : 1.425kg
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Grégoire Korganow a photographié les prisons françaises pour le Contrôleur Général des Lieux de Privations de Libertés de janvier 2011 à janvier 2014. Avec un accès total, il livre ici sa vision de la prison, de nos prisons.
Au 1er janvier 2014, la France comptait 67 065 détenus incarcérés, répartis dans 191 prisons, pour une capacité d'hébergement d’un peu plus de 57 000 places. En 2013, la durée moyenne de détention était de 11,5 mois.
Comment photographier la prison ? Comment restituer en image l’enfermement, la contrainte, la séparation, l’arbitraire ? Au-delà des barreaux, des cellules exiguës et sombres, des couloirs interminables, des cours de promenade austères, la réalité de la prison relève de la sensation : odeurs, bruit permanent, monotonie, ennui, violence...
La prison nourrit le fantasme. Parfois la réalité est plus banale qu’on ne l’imagine. L’horreur de l’incarcération se joue sur d’infimes petites choses, transformant le quotidien en cauchemar : les portes fermées des cellules en permanence, la solitude, la peur de la promenade où tout peut arriver, le temps passé à ne rien faire, des journées, des semaines, des mois vides.
C’est cette réalité de l’enfermement que Grégoire Korganow photographie, loin des clichés, des images chocs. Il veux saisir l’indicible, le temps qui s’arrête, la vie qui rétrécit, qui s’efface.