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Futurs sans avenir
Le Bateau Ivre - EAN : 9791092622485
Édition papier
EAN : 9791092622485
Paru le : 22 nov. 2023
26,00 €
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- EAN13 : 9791092622485
- Réf. éditeur : 049850
- Collection : BLEU SOLEIL
- Editeur : Le Bateau Ivre
- Date Parution : 22 nov. 2023
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 464
- Format : H:210 mm L:148 mm E:28 mm
- Poids : 668gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Neuf nouvelles composent ce recueil dont la première, Fin de siècle, est presque un petit roman - une anticipation à la fois subtile et effrayante de ce qui pourrait se passer en 1999. Au départ de tous ces récits, des questions d'apparence anodine et familière, puis un examen minutieux du futur qui est, presque toujours ici, une image à peine décalée de notre présent. Pour Jacques Sternberg, passé, présent, avenir, c'est du pareil au même. Qu'on soit ici, qu'on soit ailleurs, on est partout confronté à l'insupportable et au malheur. Certes, rien ne nous empêche de rêver le futur et de le conjuguer à tous les temps, à toutes les couleurs. On peut même s'en moquer. On peut en rire - adresser par exemple quelques lettres à des correspondants imaginaires. Et, après tout, pourquoi pas. Même si, selon Jacques Sternberg, les lendemains sont barrés par des murs de néant.
- Biographie : Jacques Sternberg est né à Anvers en 1923. Après avoir été rédacteur dans un journal et libraire, il gagne Paris pour essayer d'y publier ses premiers livres. Mais il doit attendre plusieurs années pour voir paraître Le Délit (1954). Sa bibliographie, considérable, comprend des romans (L'Employé, La Banlieue, Toi ma nuit), des récits de science-fiction (Entre deux mondes incertains, Univers zéro, Contes glacés), des pamphlets (Lettre ouverte aux Terriens), des anthologies, des chroniques, des recueils de dessin humoristique, des pièces de théâtre (C'est la guerre, monsieur Gruber). Tous ces livres sont l'expression d'un univers assez noir qui n'exclut pourtant ni la tendresse ni la générosité mais qui, par rapport à la grande tradition romanesque française, constitue une surprenante « diversion ».