Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LE CHATEAU DE TANLAY - UNE BEAUTE PARFAITE - ILLUSTRATIONS, COULEUR
Esplanade - EAN : 9791095551065
Édition papier
EAN : 9791095551065
Paru le : 3 déc. 2021
32,00 €
30,33 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791095551065
- Editeur : Esplanade
- Date Parution : 3 déc. 2021
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 182
- Format : 2.10 x 24.10 x 25.90 cm
- Poids : 1.064kg
- Résumé : Demeure privée jadis érigée pour de grands serviteurs et commis du royaume – François d’Andelot (1521-1569), de l’illustre maison de Coligny, puis Michel Particelli d’Hémery (1595-1650), surintendant des Finances aux côtés de Mazarin –, le château de Tanlay a les dimensions et le faste d’un véritable domaine royal. Comme souvent en France, cette demeure de plaisance, largement ouverte sur ses jardins, succède à une forteresse médiévale dont ne subsistent que les terre-pleins et les douves qui le défendaient. Il commence à être réédifié à la Renaissance, vers 1560, mais c’est surtout Pierre Le Muet (1591-1669), l’architecte du Val-de-Grâce, qui, à la demande de Particelli, lui donne ses dimensions majestueuses et sa volumétrie complexe. Achevé entre 1643 et 1650 et magnifié par un écrin d’avant-cours et de cours, de bois et de jardins où court un grand canal, il conserve de splendides décors : grisailles en trompe-l’oeil, grotesques et dieux de l’Olympe, cheminées sculptées… Les deux pièces maîtresses sont la grande galerie peinte par Rémy Vuibert et la voûte peinte du « cabinet de l’Olympe » dans la tour dite de la Ligue. Ses jeunes propriétaires en ont entrepris la restauration en profondeur, ce qui en fait aujourd’hui l’un des joyaux de la Bourgogne.