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9 Sonates pour piano de la maturité
Symetrie - EAN : 9790231808797
Édition papier
EAN : 9790231808797
Paru le : 17 déc. 2018
139,00 €
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- EAN13 : 9790231808797
- Réf. éditeur : SYM-879-7
- Editeur : Symetrie
- Date Parution : 17 déc. 2018
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 276
- Format : H:297 mm L:210 mm E:60 mm
- Poids : 1.09kg
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Résumé :
Cet ensemble de sonates pour piano comprend près de 3 heures de musique composée dans sa maturité par Antoine Reicha. Une belle série pour un cadeau ou pour découvrir la musique romantique française pour piano.
Grande Sonate en mi bémol
Grande Sonate en ut
Grande Sonate en mi
Sonate en fa
Sonate en fa majeur dite « pastorale »
Sonate en ré
Sonate en sol majeur op. 46, n° 1
Sonate en si bémol majeur op. 46, n° 2
Sonate en mi majeur op. 46, n° 3 -
Biographie :
Antoine Reicha (aussi connu comme Antonín Rejcha ou Anton Reicha) est né à Prague en 1770. Dès l’âge de dix ans, il est éduqué par son oncle, le compositeur Josef Reicha, qui lui enseigne le violon et la flûte. En 1785, la famille déménage à Bonn où Antoine se lie d’amitié avec Ludwig van Beethoven. De 1794 à 1799, Reicha enseigne la composition et le piano à Hambourg, puis passe deux années à Paris où il espère se faire une réputation de compositeur dramatique – entreprise qui ne rencontrera pas le succès escompté. En 1801, il s’établit à Vienne et y retrouve Beethoven. Reicha retourne ensuite à Paris en 1808, où il restera jusqu’à sa mort en 1836. En 1818, il est nommé professeur de fugue et de contrepoint au Conservatoire de Paris. Cette même année, Reicha épouse Virginie Énaust qui lui donnera deux filles. Le compositeur se fait naturaliser français en 1829. En 1835, il est nommé au siège de Boieldieu à l’Académie française.
Il semble que Reicha fut très apprécié du grand public ainsi que par ses élèves, parmi lesquels on compte Berlioz, Franck, Liszt, Gounod et Onslow. Ses compositions embrassent les principales formes musicales. Il fut aussi l’auteur d’ouvrages théoriques importants. Reicha disait lui-même qu’il cherchait toujours quelque chose de nouveau – ce trait se manifeste notamment par l’utilisation de mesures composées, telles que 5/8 ou 7/4, la composition d’œuvres bitonales ou polyrythmiques, ou encore l’utilisation expérimentale des quarts de ton. Une grande partie des œuvres de Reicha resta inédite du vivant du compositeur (celui-ci répugnait notamment à organiser des concerts pour faire jouer sa musique). La plupart de ses œuvres tombèrent donc dans l’oubli après sa mort et c’est seulement depuis les trente dernières années que nous commençons à les redécouvrir.