Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Adieu Lucy
EAN : 9782226019592
Paru le : 31 janv. 1984
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782226019592
- Réf. éditeur : 6004352
- Editeur : Albin Michel
- Date Parution : 31 janv. 1984
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 432
- Format : H:225 mm L:145 mm
- Poids : 615gr
-
Résumé :
Pascin prononcer Passkine, citoyen du monde et juif errant, aristocrate de la bohème et Américain du Danube, Pascin le dandy des trois monts (Vénus, Montparnasse et Montmartre, enfant prodigue et clochard, vivant son art à corps perdu, aimé de tous et pourtant peintre maudit, mérite d'être mieux connu.
Né en Bulgarie le 31 mars 1885, il est mort à Paris le 2 juin 1930. Révolté par l'autorité paternelle, des l'âge de seize ans, sûr de son talent, il s'exilait, d'abord en Allemagne, puis a Paris où il débarquait, déjà célèbre pour ses dessins au Simplicissimus, un soir de Noël 1905.
Fervent admirateur de Toulouse-Lautrec, il se voulait et il se voulut toute sa vie grand calife des Mille et Une Nuits qui avaient hanté sa jeunesse et caïd des bordels et de la bohème. Pour fuir la guerre de 1914, il partit en Amérique et ne revint a Paris qu'en 1920, citoyen américain et marié à son amie l'artiste Hermine David. Mais il n'avait cesse d'être amoureux de Lucy Vidil qui entre-temps avait épousé le peintre norvégien Per Krogh dont elle avait un fils. Leurs retrouvailles furent un coup de foudre réciproque. Pour eux, les années folles furent l'histoire d'un amour fou, d'une passion à laquelle ils se brûlèrent merveilleusement et tragiquement.
À Paris comme à Tokyo, Pascin connut la gloire de son vivant ; son oeuvre est éparpillée dans tous les grands musées du monde. Couvert de femmes mais n'en aimant qu'une, il mit fin à ses jours, entraînant avec lui la fin d'une époque qu'il avait incarnée plus que quiconque.