Albert Camus ou La fatalité des natures

Gallimard - EAN : 9782070779864
MUSSO FREDERIC
Édition papier

EAN : 9782070779864

Paru le : 9 nov. 2006

18,30 € 17,35 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782070779864
  • Réf. éditeur : A77986
  • Collection : NRF ESSAIS
  • Editeur : Gallimard
  • Date Parution : 9 nov. 2006
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 224
  • Format : H:205 mm L:140 mm E:18 mm
  • Poids : 275gr
  • Résumé : Camus l'Algérois, donc. L'enfant pauvre des faubourgs qui séduit, conquiert, fait des petits métiers, du théâtre, de la politique, du journalisme, agite le secteur, règne sur une jeunesse, organise son oeuvre comme un général d'empire, monte à Paris et se place au premier rang. Il ne lui faut pas cinq ans pour publier L'Étranger et Le Mythe de Sisyphe, faire jouer Le Malentendu et Caligula, animer le prestigieux Combat, diriger la collection "Espoir" chez Gallimard... Peu d'écrivains ont pris autant de coups. "J'ai toujours eu l'impression d'être en haute mer : menacé au coeur d'un bonheur royal." Nul camp où se retrancher : "Je suis né dans une famille, la gauche, où je mourrai, mais dont il m'est difficile de ne pas voir la déchéance." Il se range alors dans le camp des "artistes incertains de l'être mais sûrs de ne pas être autre chose", Molière, Tolstoï, Nietzsche et Melville. À force de lectures, son oeuvre s'est chargée des concrétions de l'interprétation. Et si L'Étranger n'était qu'un beau roman, Nocesun poème, dans le présent desquels il faut tout humblement s'installer pour leur rendre l'éclat des origines ? "Un arbre devrait redevenir un arbre, dit Paul Celan, et sa branche, à laquelle au cours de cent guerres on avait pendu les révoltés, une branche en fleur quand viendrait le printemps." Voici Camus rendu à ses saisons.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.