Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Algérie, histoires à ne pas dire... Le film choc interdit en Algérie. Scénario, réactions, polémique
Atlantis Allema - EAN : 9783932711312
Édition papier
EAN : 9783932711312
Paru le : 1 avr. 2011
20,00 €
18,96 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9783932711312
- Collection : FRANCE-ALGERIE
- Editeur : Atlantis Allema
- Date Parution : 1 avr. 2011
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 192
- Format : H:200 mm L:150 mm E:12 mm
- Poids : 380gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Algérie, histoires à ne pas dire…
En 1962, l’Algérie devient indépendante. Quasiment tous les non-Musulmans quittent l’Algérie : l’un des plus importants déplacements de population dans l’histoire de l’Humanité.
Pourquoi l’Algérie n’a-t-elle pas réussi à être aussi fraternelle ?
La cohabitation avec les Musulmans y avait-elle été impossible ? Cette triste fin n’avait-elle été que l’effet d’une panique, des violences extrêmes de fin de guerre?
Quatre Algériens en quête de vérité reviennent sur les mythes fondateurs de l’Algérie nouvelle et des crimes cachés de cette « guerre de libération » qui fut aussi une guerre d’épuration (ethnique) » :
o Les massacres à El Halia (Philippeville), le 20 août 1955
o Les attentats à la bombe et la Bataille d’Alger (1956–1957)
o L’assassinat du chanteur juif Raymond Leyris à Constantine, le 22 juin 1961
o Les massacres à Oran, le 5 juillet 1962.
"La parole qui se dit là, libre, mouvementée, chahutée et ballottée par l’Histoire ou par des retrouvailles souvent douloureuses avivant les plaies familiales, cette parole-là est essentielle.
Nous n’avons pas souvent l’occasion ou la chance de l’entendre venant d’Algérie. C’est ce qui fait le prix et l’importance du film de Jean-Pierre Lledo, à voir coûte que coûte. " (Serge Toubiana, Directeur de la Cinémathèque française)
Jean-Pierre Lledo est né en 1947 à Tlemcen. Algérien depuis le 6e siècle avant l’ère commune, par ses ancêtres maternels juifs, et depuis 1848, par les paternels catalans.
À la suite de menaces islamistes, Jean-Pierre Lledo a dû quitter l’Algérie en 1993. Depuis, il a réalisé plusieurs films documentaires liés aux réalités multiethniques de l’Algérie d’avant 1962, mémoires refoulées par l’histoire officielle.