Ambassades françaises du XXe siècle

Patrimoine - EAN : 9782757706824
Fabien Bellat
Édition papier

EAN : 9782757706824

Paru le : 5 mars 2020

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  • EAN13 : 9782757706824
  • Réf. éditeur : 722228
  • Collection : CARNETS ARCHIT
  • Editeur : Patrimoine
  • Date Parution : 5 mars 2020
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 192
  • Format : H:212 mm L:167 mm E:16 mm
  • Poids : 520gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Ce carnet d'architecture propose de découvrir, à travers une sélection de 7 ambassades, l'ambition de la France de se réapproprier son image de marque à l'étranger, pendant l'après-guerre et les Trente glorieuses, grâce aux travaux de grands architectes.

    Au cours du XXe siècle, face aux transformations de la diplomatie, la France a du réaliser un important rééquipement de ses chancelleries à travers le monde. Si auparavant la pratique du " bernard-l'hermite " diplomatique avait été la norme (par le phagocytage de bâtiments préexistants), après la Première Guerre mondiale, la France chercha à étendre le nombre de ses installations neuves – le ministère des Affaires étrangères faisant alors appel à des architectes sélectionnés avec soin. Ceux-ci furent souvent des Prix de Rome, mais le ministère se montra plutôt ouvert dans ses choix, passant commande à des architectes certes de formation académique, mais ayant su réinventer leur pratique au crible de la modernité. Ainsi l'image de marque extérieure de la France évolua peu à peu d'une tradition modernisée de l'entre-deux guerres à l'affirmation d'une signature moderne pendant l'après-guerre et les Trente glorieuses.

    On retrouve ainsi plusieurs grands noms, dont certains ont déjà fait l'objet de " Carnets d'architectes " : Roger-Henri Expert, Eugène Beaudouin, Georges-Henri Pingusson, Le Corbusier et Guillermo Jullian de La Fuente, le trio Henri Bernard, Guillaume Gillet et Bernard Zehrfuss, ou André Rémondet.
    ​Ces édifices dessinent une autre histoire de la modernité en France, sous l'angle de son institutionnalisation et de sa diffusion internationale.

    Plus récemment, l'architecture diplomatique a trouvé un nouveau souffle avec les bouleversements de la fin des années 1980, notamment à Berlin avec Christian de Portzamparc, ou Pékin avec une équipe franco-chinoise regroupée autour du cabinet d'Alain Sarfati.

    Sommaire :

    - Essai introductif
    - Études de cas:
    1. Belgrade, Roger-Henri Expert, 1929
    2. Ottawa, Eugène Beaudouin, 1938
    3. Sarrebruck, Georges-Henri Pingusson, 1952
    4. Brasilia, Le Corbusier/Guillermo Jullian de la Fuente, 1964-1970
    5. Varsovie, Henri Bernard, Guillaume Gillet et Bernard Zehrfuss, 1970
    6. Washington, André Remondet, 1977
    7. Berlin, Christian de Portzamparc, 1997

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