Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Amiante 100 000 morts à venir
EAN : 9782749103082
Paru le : 21 oct. 2004
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782749103082
- Réf. éditeur : 348883
- Collection : DOCUMENTS
- Editeur : Cherche Midi
- Date Parution : 21 oct. 2004
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 225
- Format : H:241 mm L:156 mm E:18 mm
- Poids : 358gr
-
Résumé :
Du grille-pain aux tuiles en fibrociment, en passant par les garnitures de frein, les réfrigérateurs, les fours, les peintures ou les revêtement de sols, la liste des produits contenant de l'amiante, que nous avons tous utilisés, est longue. La France a en effet longtemps été le pays développé qui a employé le plus ce produit toxique, alors que sa nocivité était établie depuis des décennies. Ce n'est qu'en 1997 que l'usage de l'amiante a été interdit dans l'hexagone.
Bilan de cet aveuglement ? 3000 décès par an et d'ici à 2025, 100 000 morts à venir. Une hécatombe qui fait de l'affaire de l'amiante le plus important de tous les scandales de santé publique. En outre, une troisième vague de victimes est apparue. Parmi tous ceux qui ont vécu ou travaillé dans des immeubles isolés à l'amiante, certains risquent aujourd'hui de développer un cancer.
À l'heure où des milliers de plaintes sanctionnent enfin la responsabilité de l'État et des grands industriels français, François Malye remonte le fil de plusieurs décennies de mensonges et de non-dits. Mais il faut s'accrocher. Et écouter les victimes. Des hommes et des femmes qui meurent lentement, un peu partout en France, tout simplement parce qu'il fallait équilibrer le bilan de l'une de nos multinationales.