Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Anthèses Poétiques II Sapience
Ibacom - EAN : 9791092733143
Édition papier
EAN : 9791092733143
Paru le : 1 mars 2018
10,00 €
9,48 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791092733143
- Réf. éditeur : ANTHESES II
- Collection : ANTHESES
- Editeur : Ibacom
- Date Parution : 1 mars 2018
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 84
- Format : H:220 mm L:140 mm E:5 mm
- Poids : 140gr
-
Résumé :
4e de couverture : par Maître Jacques Trémolet de Villers
L’Abbé Jean-Paul André, notre prêtre-poète, a peaufiné son art et lissé sa méthode. L’explication préalable, brève et savante, ouvre à la lecture du poème. Le lecteur, prévenu du mot rare et instruit de son sens, peut se laisser aller à la chanson. La musique lui en donnera une intelligence supérieure.
C’est une oeuvre originale que celle de prêcher par voie de poésie. Mais c’est surtout une oeuvre utile. L’Abbé André est un passeur ou un guide. Il nous permet d’entrer dans les voies de la sagesse et puis, la porte franchie, il montre ou il suggère. Il explique un peu puis se tait.
Le poème, alors, peut prendre doucement possession de notre coeur et de notre esprit et nous introduire aux joies de la connaissance.
Sapiences !
La sagesse a été coulée ici dans la forme du vers, que Maurras disait « si grand ami de la mémoire ». C’est que les Muses sont filles de Mémoire et que, sans mémoire, notre vie se dissout sur « les cristaux du fluide, du fuyant, de l’enfui et de l’en allé ».
Par là, le Maître de Martigues pouvait conclure que « le mystère de l’art côtoie le mystère du monde par la vertu du vers en soi, par l’incarnation de la fabuleuse gageure hors laquelle il n’y a que la Prose et le Malheur, la Prose et le Deuil, sans retour ».
Dans ces poèmes, les « retours », en rimes et refrains, césures et cadences, sont la vivante preuve que le vers est bien celui qui « retient dans ses griffes dorées l’appareil éboulé de la connaissance ». Le poème est donc bien, à l’image du divin Maître, Verbe et Vie.