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Archigny. Chronique d'une époque mouvementée (1939-1947) par une habitante du bourg
Publi Chauvinoises - EAN : 9791090534254
Édition papier
EAN : 9791090534254
Paru le : 18 déc. 2014
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- EAN13 : 9791090534254
- Réf. éditeur : MOM033
- Collection : MEMORIA MOMENTI
- Editeur : Publi Chauvinoises
- Date Parution : 18 déc. 2014
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 64
- Format : H:240 mm L:170 mm
- Poids : 400gr
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Résumé :
Née en 1882, grand-mère maternelle de Jean Dubois, Marie Guérin a vécu les deux guerres. Durant toute la guerre de 1914-1918, son mari étant sur le front, elle géra conjointement une petite exploitation agricole et le moulin de Chavard sur la commune d’Archigny. Dès cette époque, outre la correspondance très régulière qu’elle entretint avec son époux militaire, elle rédigeait déjà des notes journalières, principale-ment pour la gestion des exploitations.
Aujourd’hui, son petit-fils nous dévoile les carnets tenus de 1939 à 1947. Marie, veuve depuis 1938, vivait pendant la Deuxième Guerre mondiale au moulin de Chavard avec son fils âgé de 18 ans en 1940 ; sa mère gérait, elle aussi, une ferme à Vilaine sur la même commune. Les notes prises au jour le jour donnent un aperçu assez unique de l’occupation allemande dans une bourgade isolée, sur la ligne de démarcation qui coupait la France en deux zones, l’une libre, l’autre occupée.
Par la simplicité, le bon sens et l’intelligence de son témoignage un peu involontaire, Marie Guérin nous permet d’aborder cette époque troublée par le petit bout de la lorgnette, sa lorgnette.
Cette observatrice, aux premières loges d’événements parfois tragiques, égraine tout au long de ces pages ses sentiments feutrés comme on dit un chapelet. Elle affirme, en revanche, une volonté d’agir qui dénote un caractère bien trempé.
Grâce à ce “journal”, la ville d’Archigny bénéficie d’un témoi-gnage qui éclaire d’un jour nouveau les années pénibles à vivre d’une campagne devenue frontalière sous le joug d’une armée d’occupation.
Que Jean Dubois, maître d’œuvre de la publication de ces carnets, en soit ici remercié.
Max Aubrun,
Conservateur des musées de Chauvigny.