Au pays de la paresse. Algérie 1930

Atlantis Allema - EAN : 9783932711749
,
Édition papier

EAN : 9783932711749

Paru le : 9 oct. 2020

22,00 € 20,85 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9783932711749
  • Collection : FRANCE-ALGERIE
  • Editeur : Atlantis Allema
  • Date Parution : 9 oct. 2020
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 184
  • Format : H:210 mm L:150 mm E:13 mm
  • Poids : 400gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : L'univers des nomades dans les Hauts-Plateaux algériens

    Le nomade Amor tombe amoureux de la belle Nedjma. Pour pouvoir payer la dot, il est obligé de travailler dans la mine de fer de l'Ouenza (entre Souk-Ahras et Tébessa). Mais le père de Nedjma lui préfère son rival Seghir qui lui offre des terres fertiles qu'il convoite depuis toujours.
    Amor décide alors d'enlever Nedjma et de se réfugier en Tunisie…
    C'est à nouveau avec une justesse et une lucidité incomparables que Charles Courtin, fort de ses longues expériences d'administrateur du bled, dépeint l'univers des nomades dans les Haut-Plateaux algériens.
    Ces nomades "au pays de la paresse", devenus sédentaires sous la colonisation française, se transforment à nouveau en "nomades modernes" en quittant leurs douars pour aller travailler chez les "infidèles" – à la mine de l'Ouenza ou en traversant la Méditerranée.

    Et c'est grâce à cet argent et ce lent changement de mentalité que les musulmans semblent préparer leur revanche :
    "Les Musulmans rachetaient leurs terres aux Chrétiens. Leurs salaires, l'argent dont les roumis rétribuaient leur fatigue, ils les affectaient à cette reprise sournoise du sol. La terre des ancêtres, ils la reprenaient, lambeau par lambeau, péniblement. Ce travail qu'ils méprisaient, c'était une arme que les roumis leur offraient pour les vaincre, une arme redoutable, qui amènerait peut-être la défaite de leur race, parce qu'ils n'en sentiraient la menace que trop tard."

    Notes, commentaires et analyses de Wolf Albes.
    Avec une documentation sur la mine de l'Ouenza.
    Réédition de l'édition originale de 1942 (Librairie Alphonse Lemerre, Paris) : Au Pays de la Paresse
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.