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Avec trois yaks vers la mer
EAN : 9782828913007
Paru le : 18 oct. 2012
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- EAN13 : 9782828913007
- Réf. éditeur : 542591
- Editeur : Favre
- Date Parution : 18 oct. 2012
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 217
- Format : H:242 mm L:155 mm E:18 mm
- Poids : 492gr
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Résumé :
Récit d'une aventure hors du commun – deux femmes et trois yaks – 600 km pour relier Evolène (VS-Suisse) à Menton (Côte d'Azur), en passant par le val d'Aoste, la Tarentaise, le Parc national de la Vanoise, les Hautes Alpes, Queyras et Ubaye et le Mercantour, entre autres.
Traverser les Alpes en deux mois à l'automne 2011, tel est le projet de Rosula Blanc, passionnée depuis toute petite par les yaks, animaux de haute montagne par excellence. Elle s'entoure de Sonja, elle-même éleveuse de yaks. Après une longue préparation administrative, les deux femmes partent dans ce périple de 600 km, qui débute à Evolène, dans le val d'Hérens, avec trois yaks nés dans le Haut-Valais. Pour accomplir cet exploit, il faudra franchir trente-six cols et un glacier, marcher de quatre à sept heures par jour sous la pluie, le vent, improviser des campements, s'adapter aux humeurs des animaux. Au gré des villages, ce sont aussi des rencontres avec les habitants, des coups de main bienvenus, des imprévus à gérer, et quelques petits bobos.
Dans ce carnet de voyage, Rosula Blanc observe attentivement ses yaks, cherche à comprendre leur façon de travailler, tente de les apprivoiser au fur et à mesure du périple. Cette aventure hors du commun a lié les deux femmes et ces animaux bien particuliers. Il en ressort un témoignage plein d'humanité, de courage, de détermination et de passion pour Lufang, Julong et Manduk. Un défi sportif réussi mais aussi un défi éducatif à poursuivre avec les animaux. Ils ont montré toute leur endurance et leur capacité d'adaptation à la montagne et ses aléas.
Ce voyage avait également une facette humanitaire : deux associations non gouvernementales, l'une œuvrant au nord de l'Inde et l'autre au Népal, ont ainsi pu bénéficier de sommes leur permettant de financer des projets d'aide au développement.