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Babillages
Le Coudrier - EAN : 9782930498997
Édition papier
EAN : 9782930498997
Paru le : 4 juin 2019
16,00 €
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- EAN13 : 9782930498997
- Editeur : Le Coudrier
- Date Parution : 4 juin 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 80
- Format : H:140 mm L:200 mm
- Poids : 401gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Écrivains côtoyant la médecine? Médecins se piquant de littérature? En tous cas, deux spécialistes nous livrent ici le premier volume de leur correspondance privée. Le docteur Aperstein et le docteur Decourtsberg ont hier suivi leurs études à Wien (Autriche) et se sont reconnus quelques années plus tard au hasard d’un colloque parisien. Julien Cavalier qui les a consultés tous deux a pu d’un trait résumer leur relation : «Cinq soirs par semaine le Dr A. et le Dr D. se retrouvent dans un obscur petit restaurant chinois de la rue Boyer-Barret […] Nous pourrions croire que le Dr D. et le Dr A. s’apprécient étant donné la nature de leurs échanges et la fréquence de leurs entrevues mais cela constituerait une grave erreur. Ils se vouent réciproquement un mépris très particulier.» C’est au lecteur maintenant de participer à cette heureuse et stimulante détestation. Le 3 juin 2018, le Professor-Doktor Schnitzel, doyen de la faculté de Médecine de Wien, écrivait ceci : «Lorsque les éditions Le Coudrier me firent l’honneur de solliciter une présentation de cet ouvrage, mon esprit fut le siège d’un dilemme presque insoluble. D’une part, le souvenir de ces deux étudiants d’alors n’était pas sans irriter ma plume : je voyais à nouveau ces insupportables carabins, pétris d’orgueil, qui prétendaient pouvoir se dispenser de mon enseignement. D’autre part, il fallait me résoudre à l’évidence : la publication de cette correspondance constituait un apport décisif à la littérature médicale. Il s’agit bien en effet d’un document de première main, auquel les générations futures devront se référer, essentiel à la compréhension de notre Siècle nouveau, nécessaire pour éclairer la marche du Progrès scientifique. De notre bonne ville de Wien, c’est avec émotion que je salue mes désormais héroïques Confrères, les Dr Aperstein et Decourtsberg. Et que vive la Science médicale!»