Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Bains publics. Se laver en ville (1850-2000)
EAN : 9782800418131
Paru le : 31 déc. 2099
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782800418131
- Réf. éditeur : 256259
- Collection : MSH
- Editeur : Univ Bruxelles
- Date Parution : 31 déc. 2099
- Disponibilite : Abandon de parution
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 520
- Poids : 0gr
-
Résumé :
Avec Bains publics, Sophie Richelle propose un double récit original. Celui de l’histoire des bains communaux, compris comme les endroits où il était possible de se laver en dehors de chez soi à moindre coût aux XIXe et XXe siècles. Et celui de la quête historienne en train d’être menée. Trop souvent cantonnée au XIXe siècle, l’histoire des bains publics, se décline pourtant au 20e siècle. Lieux oubliés et méconnus, à l’heure des douches quotidiennes, ils sont un observatoire inédit de l’histoire du corps, de l’histoire de l’intime, de l’hygiène populaire et des inégalités sociales et genrées qui les ont traversées.
En poursuivant une écriture sensible où la subjectivité a sa place, l’historienne Sophie Richelle nous plonge également dans les coulisses de sa recherche. Partagée à l’origine sur Twitter, l’enquête historienne est reprise ici. L’ouvrage est hybride et permet, par la juxtaposition des résultats et de la quête, une réflexion sur le métier et les écritures historiennes.
- Biographie : Sophie Richelle est docteure en histoire de l’Université du Luxembourg. Ses recherches croisent les notions d’espaces et d’expériences du passé. De l’asile de folles aux hospices de vieux, elle poursuit aujourd’hui ses questionnements avec les bains publics à l’Université libre de Bruxelles. En plaçant au centre de son attention l’expérience sensible, matérielle et humaine d’espaces resserrés et particuliers, elle tente de raconter l’histoire de ceux qui n’avaient pas laissé de traces.