Balades artistiques en Gâtinais

Ecluse - EAN : 9782916564777

- PLAISA BAUMGARTNER

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Édition papier

EAN : 9782916564777

Paru le : 15 sept. 2015

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Détails

EAN13 : 9782916564777
Réf. éditeur : 81
Editeur : Ecluse
Date Parution : 15 sept. 2015
Disponibilite : Disponible
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 312
Format : H:195 mm L:27 mm E:22 mm
Poids : 1.033kg

Résumé

Résumé : Un répertoire des artistes du Gâtinais orléanais ayant exercé leurs talents dans le domaine des beaux-arts, qu’ils soient peintres, sculpteurs, graveurs, dessinateurs, illustrateurs, verriers ou même architectes pour certains.
De l’apparition des premiers "artistes" en tant que tels, lorsqu’ils se sont émancipés de leur statut initial d’artisans, jusqu’au début de la Seconde Guerre mondiale.

Le titre à lui seul souligne la liberté avec laquelle le lecteur s’aventure dans le vaste champ de la création, à travers le temps et les divers modes d’expression réunis sous le terme de « beaux-arts ».
Sa boussole ? Un répertoire alphabétique et biographique inédit, lui permettant de composer son propre itinéraire à la découverte de monuments, d’églises, de portraits et paysages qui ont façonné l’identité du Gâtinais, depuis le Haut Moyen Âge jusqu’au début de la Seconde Guerre mondiale…
Plusieurs artistes bénéficient d’une notice détaillée, agrémentée d’un portrait et de quelques illustrations, complétée par une solide bibliographie.
Enfin, avec ce dernier volet, Daniel Plaisance achève un triptyque consacré à la présence littéraire, musicale et artistique en Gâtinais orléanais.
Les portraits d’artistes dépeints par Gilbert Baumgartner et Daniel Plaisance constituent par leurs recherches fondamentales et assidues une page d’histoire de l’art régionale, inédite à ce jour, à laquelle, sans nul doute, se référeront nombre de chercheurs et responsables de collections.
Pascale Gardès (Préface)
Attachée de conservation, Pascale Gardès est Responsable du musée Girodet de Montargis.
Biographie : Gilbert Baumgartner est né au milieu du siècle dernier dans la ville de Dollfus, Mieg et compagnie. Suivant la prédestination de son nom et les hasards des postes d’enseignement, il a planté ses racines en terre gâtinaise, où il a tenté, professionnellement, de propager l’amour de la langue de Goethe, dans un lycée en Forêt, évidemment.
Très tôt, l’histoire locale fait partie de ses préoccupations. Adhérent de la Société d’Emulation de l’Arrondissement de Montargis, dont il devient le vice-président, puis le président en 2007, il milite pour la reconnaissance de la profondeur historique dans l’urbanisme et l’aménagement des paysages. Il contribue au rayonnement de la SEM grâce aux moyens de communication modernes, sans renoncer à la rigueur des recherches et au sérieux des publications.
Né sous le signe des Poissons, il frétille volontiers entre deux extrêmes, entre deux langues, entre deux cultures, réussissant parfois le grand écart qui lui permet de "penser globalement, agir localement". Il est l’auteur de plusieurs études parues dans le bulletin de la SEM ou celui d’EPONA, ainsi que d’un ouvrage collectif sur le village de Pannes.
Pour sa prochaine réincarnation, il a déjà choisi les habits du romancier.

Daniel PLAISANCE : Après avoir goûté aux douceurs de l’exotisme, tour à tour à la Guadeloupe et en Touraine ( ?), Daniel Plaisance revient "plein d’usage et raison" dans son Gâtinais natal en 1973 pour y enseigner les Lettres au C.E.S. R. Schumann d’Amilly, puis au Lycée en Forêt de Montargis et - parallèlement - à l’Université de la Sorbonne Nouvelle de 1984 à 1990. Croyant aux vertus pédagogiques de l’écriture, il anime un atelier en classe de Seconde et crée en 1997 un concours de nouvelles pour le Salon du Livre du Montargois ; de cette double initiative naîtront deux recueils de textes d’adolescents : Histoire(s) de Montargis (2002) et Graines d’écrivains (2004). Sensible aux charmes discrets de la recherche, auteur d’articles pour la Société d’Emulation, les Amis du Vieux Montargis ou Epona, il collabore à des revues littéraires (Revue d’Histoire littéraire de la France, Les Lettres Romanes, Littératures...) et participe à des colloques sur le XVIIe siècle ("Bussy-Rabutin" en 1993, "Mme de Sévigné" en 1996). Il a publié en 1988 : Le Gâtinais au temps de Mme de Sévigné (épuisé).