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Barlaam et Josaphat (ou le Bouddha christianisé)
Gope - EAN : 9791091328418
Édition papier
EAN : 9791091328418
Paru le : 28 oct. 2016
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- EAN13 : 9791091328418
- Réf. éditeur : 20
- Editeur : Gope
- Date Parution : 28 oct. 2016
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 160
- Format : H:200 mm L:120 mm E:10 mm
- Poids : 150gr
- Interdit de retour : Retour interdit
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Résumé :
Voici, dans une version simplifiée en français moderne, un petit texte fort surprenant. Il est connu de quelques spécialistes d’hagiographie ou de médiévistes. Il s’agit d’un récit christianisé de l’histoire du Bouddha. Si bien christianisé, d’ailleurs, que le pape Sixte V, sur la foi d’un culte qui lui était déjà rendu en raison de la diffusion de la légende, crut bon de le canoniser sous le nom de « saint Josaphat », tel qu’il figure toujours dans le martyrologe romain à la date du 27 novembre.
On apprendra ainsi que l’introduction de la connaissance du Bouddha en Occident ne date pas de la vogue dont bénéficie aujourd’hui le dalaï-lama. Déjà Marco Polo, dans la chronique de son expédition en Chine, rédigée en français et intitulée « Le livre des merveilles du monde » (1298), donna une courte biographie de Gautama Sakyamuni dit « le Bouddha » et fit brièvement état de sa doctrine. Mais l’Occident savant le connaissait déjà depuis le XIe siècle, sans trop le savoir, par des textes latins qui diffusaient la légende d’un certain saint Josaphat… -
Biographie :
Jean-Marcel Paquette est né à Montréal (Québec) en 1941 ; après des études chez les jésuites du collège Sainte-Marie à Montréal, il a présenté en 1964 son mémoire de maîtrise sur la chanson de geste Huon de Bordeaux à l’Université McGill de Montréal sous la direction du Professeur J.A. McGilivray, puis sa thèse de doctorat en 1968 au Centre d’études supérieures de civilisation médiévale de Poitiers, consistant en une édition critique du manuscrit d’une chanson de geste inédite de la fin du XIIIe siècle, Les Enfances de Garin de Monglane, sous la direction du Professeur Pierre Bec.
Enseignant et chercheur à l’Université Laval de 1968 à l’an 2000, professeur titulaire depuis 1980, le candidat a contribué d’une manière exceptionnelle et manifeste à la francophonie, notamment par ses missions d’enseignement, soit de littérature québécoise, soit de Moyen Âge français, à l’étranger : Université de Caen (1971-1973), de Paris XIII-Villetaneuse (1972), de la Guadeloupe (1976), de Wrocław (Pologne 1979), de Augsbourg (Allemagne 1981), de Pécs (Hongrie 1986), de Sofia (Bulgarie 1987) et de Bangkok (Thaïlande 2001), où il est aujourd’hui conseiller spécial (« academic expert ») de la section de français, notamment en matière de francophonie. Il a aussi codirigé, et fait soutenir, dans de nombreux pays, plusieurs thèses sur des sujets relatifs à la francophonie. C’est sans compter la vingtaine de colloques et congrès auxquels il a participé comme conférencier ou animateur.
Il a été, de 1976 à 1984, membre du Conseil de la langue française du Québec, au titre de représentant des milieux universitaires, chargé de conseiller le Ministre responsable des politiques linguistiques du gouvernement du Québec.
Comme écrivain, unanimement loué par la critique pour la haute qualité de sa langue et l’excellence de son style, Jean Marcel est l’auteur de seize essais et anthologies, dont Le Joual de Troie (1973) sur la situation linguistique du Québec qui lui a valu le Prix France-Québec en 1974. Il est aussi le créateur de six ouvrages de fiction, romans et nouvelles ; traducteur-adaptateur de huit ouvrages (latin médiéval, ancien français, allemand, sumérien) mettant à portée des publics francophones des œuvres venues d’horizons divers, participant ainsi concrètement à la variété du dialogue des cultures.
Il a reçu le Prix France-Québec, premier prix de sa jeune carrière, en 1974, pour Le Joual de Troie, le Prix Molson de l’Académie des lettres du Québec pour son premier roman, Hypatie ou la fin des dieux en 1989, le Prix Victor-Barbeau pour son essai Fractions 2 en 2000. Il a été plusieurs fois finaliste du Prix du Gouverneur général du Canada. Il est membre de la Société royale du Canada. Il est aujourd’hui, à 75 ans, l’un des principaux animateurs de la vie culturelle francophone de Thaïlande et d’autres pays de l’Asie du Sud-Est.