Blanqui face à ses juges

L Escalier - EAN : 9782355831409
BLANQUI AUGUSTE
Édition papier

EAN : 9782355831409

Paru le : 10 juin 2013

8,00 € 7,58 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782355831409
  • Réf. éditeur : L35583-140-9
  • Editeur : L Escalier
  • Date Parution : 10 juin 2013
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 96
  • Format : H:156 mm L:111 mm E:7 mm
  • Poids : 80gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Ce recueil contient les textes suivants :
    - Défense du Citoyen Blanqui devant la Cour d’Assises au Procès des Quinze (12-01-32)
    - Audience de Blanqui du 31-03-49
    - Discours du 25-02-48
    - Pour le drapeau rouge (26-02-48)
    - Adresse de la Société Républicaine Centrale au Gouvernement (2-03-48)
    - Première pétition pour l’ajournement des élections (6-03-48)
    - Deuxième pétition pour l’ajournement des élections (14-03-48)
    - Adresse au gouvernement (17-03-48)
    - Aux clubs démocratiques de Paris (22-03-48)
    - Profession de foi (30-03-48)
    - Adresse au gouvernement provisoire(20-04-48)
    - La Société Républicaine Centrale, au gouvernement provisoire à propos des massacres de Rouen (2-05-48)

    Messieurs les jurés,
    Je suis accusé d’avoir dit à trente millions de Français, prolétaires comme moi, qu’ils avaient le droit de vivre. Si cela est un crime, il me semble du moins que je ne devrais en répondre qu’à des hommes qui ne fussent point juges et parties dans la question. Or, Messieurs, remarquez bien que le ministère public ne s’est point adressé à votre équité et à votre raison, mais à vos passions et à vos intérêts ; il n’appelle pas votre rigueur sur un acte contraire à la morale et aux lois ; il ne cherche qu’à déchaîner votre vengeance contre ce qu’il vous représente comme une menace à votre existence et à vos propriétés. (Audience du 12-01-32)
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.