Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
BORDEAUX 1944-1947 - LE GRAND BASCULEMENT
Geste - EAN : 9791035311674
Édition papier
EAN : 9791035311674
Paru le : 7 juil. 2022
20,00 €
18,96 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791035311674
- Réf. éditeur : LUP3845
- Collection : BEAU PETIT PAYS
- Editeur : Geste
- Date Parution : 7 juil. 2022
- Disponibilite : Disponible
- Nombre de pages : 328
- Format : H:220 mm L:155 mm
- Poids : 980gr
- Résumé : À Bordeaux, les années 1944 – 1947 marquent un tournant important dans l’histoire : Vichy c’est fini, la République est de retour, la machine politique et administrative se remet en route, les guerres coloniales se profilent… Les nouvelles autorités s’installent, complémentaires et concurrentes. Pendant des mois, tout est violent, la joie comme la haine. Il faut désigner les conseils municipaux, arrêter les collaborateurs, lancer l’épuration, mais dans l’ordre. La vieille opposition entre France libre et France résistante est vivante et vivace. À sept reprises en trois ans, les Français votent et se déplacent massivement. Avec une singularité : les femmes sont devenues électrices, et éligibles. Mais en ces années d’après-guerre, Bordeaux, comme le reste de la France, a faim. Fin 1947 un « rideau de fer » s’abat sur l’Europe. Des grèves « insurrectionnelles » se déclenchent. Et en novembre 1947, la rupture avec les communistes est fatale au maire Fernand Audeguil. Un jeune général ambitieux, résistant, proche de De Gaulle s’installe à l’hôtel de ville, même si l’ancien maire, Adrien Marquet, ministre de Vichy, continue à peser.