Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Britannicus
EAN : 9782035861580
Paru le : 13 avr. 2011
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782035861580
- Réf. éditeur : 5915954
- Collection : PETITS CLASSIQU
- Editeur : Larousse
- Date Parution : 13 avr. 2011
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 176
- Format : H:180 mm L:125 mm E:9 mm
- Poids : 168gr
- Résumé : Comment devient-on un tyran sanguinaire ? C’est l’intrigue de Britannicus, où Racine montre, en 1669, la prise de pouvoir de Néron. Ce « monstre naissant », sous le joug d’Agrippine, mère possessive, et d’un mauvais conseiller, le traître Narcisse, va laver l’affront d’un amour sans retour dans le chantage, l’enlèvement et le meurtre. En quelques minutes, Racine nous fait assister au spectacle de l’avènement, à Rome, de la barbarie.
-
Biographie :
1639 - 1699. Orphelin, il est recueilli par les religieuses de Port-Royal, où il reçoit une éducation janséniste. Après avoir tenté de concilier ses aspirations littéraires avec la carrière ecclésiastique, il se consacre au théâtre. Il fait jouer la Thébaïde (1664), puis Alexandre le Grand (1665), mais c'est le succès de la tragédie Andromaque (1667) qui assure sa réputation. Il donne ensuite Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie en Aulide (1674), Phèdre (1677). Nommé historiographe du roi, réconcilié avec les jansénistes, il renonce alors au théâtre. Mais, à la demande de Mme de Maintenon, il écrit encore pour les élèves de Saint-Cyr les tragédies bibliques Esther (1689) et Athalie (1691). Le théâtre de Racine peint la passion comme une force fatale, qui détruit celui qui en est possédé. Réalisant l'idéal de la tragédie classique, il présente une action simple, claire, dont les péripéties naissent de la passion même des personnages. Racine a aussi écrit une comédie, les Plaideurs (1668), spirituelle critique des moeurs judiciaires. (Académie française.)