Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
CAHIERS ALBERT COHEN N°18, ANIMAL ET ANIMALITE DANS L'OEUVRE D'ALBERT COHEN
Manuscrit - EAN : 9782304022025
Édition papier
EAN : 9782304022025
Paru le : 20 oct. 2008
19,90 €
18,86 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782304022025
- Réf. éditeur : 3997749
- Editeur : Manuscrit
- Date Parution : 20 oct. 2008
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 164
- Format : H:225 mm L:140 mm E:9 mm
- Poids : 208gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Tout lecteur d'Albert Cohen est d'abord plein de ces évocations saisissantes de l'antagonisme radical entre « la Loi » et « la nature » dont l'auteur semble avoir fait le socle de sa vision du monde : « [...]C'est notre héroïsme désespéré que de ne vouloir pas être ce que nous sommes et c'est-à-dire des bêtes soumises aux règles de la nature que de vouloir être ce que nous ne sommes pas et c'est-à-dire des hommes. » Quel est le soubassement de cette vision du monde ? Est-il à chercher dans le judaïsme dont Cohen se réclame ou dans une pente quasi gnostique, comme le soutient Jack Abecassis ? Comment se traduit-elle poétiquement ? Que vient-elle signifier politiquement et philosophiquement ? Que trahit-elle de l'imaginaire de l'écrivain, de son rapport à la nature, au corps, à la femme ? Comment l'aversion déclarée pour l'animalité peutelle s'accorder avec les mille et une preuves de l'intérêt, sinon de l'amour, de l'écrivain pour les « bêtes » ? Car ouvrir l'oeuvre de Cohen, c'est découvrir une incroyable faune, dans laquelle les animaux ne sont pas toujours des repoussoirs allégoriques : des chattes aux termites, des chevaux de retour aux félins - miniaturisés ou non -, des langoustes d'Ariane aux araignées adultères, des aigles aux crapauds, en passant par les grosses mouches noires et jusqu'au chien auquel Solal envisage un moment de faire sa déclaration d'amour, le bestiaire de l'écrivain semble inépuisable.