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CHARLES TRENET CHANSONS VOLENT
Epm Marketing - EAN : 3540139869163
Édition papier
EAN : 3540139869163
Paru le : 11 janv. 2016
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- EAN13 : 3540139869163
- Réf. éditeur : 986916
- Editeur : Epm Marketing
- Date Parution : 11 janv. 2016
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : M
- Format : H:125 mm L:140 mm E:25 mm
- Poids : 150gr
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Résumé :
CHARLES TRENET
« CHANSONS VOLENT »
108 TITRES - 4 CD – 15 ÉME ANNIVERSAIRE
D’une enfance marquée par le divorce de ses parents, la séparation d’avec sa mère et la pension, on retiendra surtout les rencontres du peintre Fons-Godail, qui lui donnera le goût du dessin et des pinceaux, et du poète Albert Bausil qui sera son premier mentor en écriture. A quinze ans, renvoyé du lycée pour indiscipline, il rejoint sa mère qui vit à Berlin, où il poursuit des études artistiques et découvre le jazz et la musique de Kurt Weill. Dès 1930, il se fixe à Paris et se voue à la peinture et à la décoration de cinéma, tout en écrivant une ébauche de roman et ses premières chansons. Vivant à Montparnasse, il se lie d’amitié avec Antonin Artaud, Jean Cocteau et Max Jacob, et fait la connaissance d’un jeune chanteur-compositeur suisse, Johnny Hess, avec lequel il décide de monter un duo. Charles et Johnny débutent ainsi en 1933, et connaissent un succès rapide grâce à des titres comme " Sur le Yang-Tsé-Kian " ou " Vous qui passez sans me voir ", créée par Jean Sablon. Mais les deux jeunes gens doivent se séparer en 1936, quand Charles Trenet est appelé sous les drapeaux.
A sa démobilisation, celui que l’on surnomme déjà " Le fou chantant " se lance en solo et ne tarde pas à sortir son premier disque contenant " Je chante " et " Fleur bleue ". Le public retiendra surtout la première, symbolisant à merveille le style Trenet, fait de rythmes syncopés et de textes d'une jeunesse et d'une joie de vivre bien en phase avec la période du Front Populaire. Grand Prix du disque, en 1939, pour " Boum ", il triomphe à l'ABC, tandis que Chevalier, au faîte de sa gloire, fait un tabac avec " Y’a d’la joie ".
Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que la presse annonce sa mort, Trenet s’occupe d’organiser le Théâtre aux Armées, avant de reprendre le cours de sa carrière, au lendemain de la débâcle. Il tourne alors pour le cinéma (Romance de Paris - 1941), écrit de nouvelles chansons (" Que reste-t-il de nos amours ? ", " Débit de l’eau, débit de lait ", " La Mer ", " Douce France "), et continue de se produire sur scène, en dépit d’une violente campagne antisémite orchestrée contre lui par la presse collaboratrice. Le fait d’avoir chanté pour l’Occupant lui vaudra néanmoins dix mois d’interdiction professionnelle, au lendemain de la Libération. Sanction injuste au terme de laquelle son retour sur scène sera follement acclamé par le public de l’A.B.C.
Dans l’intervalle, il s’est lancé à la conquête des Etats-Unis, de l’Amérique du Sud et du Canada, où il songe même s’installer un temps. En 1951, il renoue avec le public français en chantant pendant deux mois au théâtre de l'Etoile, puis retourne en Amérique latine avant de faire son premier Olympia, en 1954, pour fêter ses vingt ans de métier et son dix millionnième disque vendu, avec de nouvelles chansons telles que " Moi, j'aime le music-hall ", " A la porte du garage ", " Nationale 7 ", etc.
Aujourd’hui, Charles Tren