Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Christian Moncelet
Nouvel Athanor - EAN : 9782356230997
Édition papier
EAN : 9782356230997
Paru le : 20 déc. 2020
16,00 €
15,17 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782356230997
- Collection : POETES TROP EFF
- Editeur : Nouvel Athanor
- Date Parution : 20 déc. 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 101
- Format : H:210 mm L:140 mm E:9 mm
- Poids : 139gr
- Résumé : Christian Moncelet est né en Algérie, d'une mère auvergnate et d'un père bas Breton. Il a vu le jour un 29 février 1944, gagnant ainsi sur le temps un an tous les quatre ans. Il vit toujours à l'ombre des moustaches de Vercingétorix et des années bissextiles. Marié à une Marguerite, il est aujourd'hui, avec ses trois filles, entouré de fleurs. Agrégé de Lettres Modernes en 1967, Docteur du Troisième Cycle en 1972, Docteur d'État grâce à une thèse consacrée à René Guy Cadou, soutenue en 1988 et qui fera un beau livre édité. Moncelet fonda dès 1976 la revue ARPA. Durant plusieurs décennies, il publia d'ailleurs des poèmes dans cette publication talentueuse animée de longue date par Gérard Bocholier et Jean-Pierre Siméon. La poésie de Christian Moncelet est toujours lisible par tous, même les enfants ! Moncelet a été acteur et metteur en scène. C'est un bateleur infatigable qui s'est produit dans des fêtes du Livre, pour des médiathèques, en milieu carcéral. Il demeure « main tendue », « au boulier du bonheur » (sic). Avec feu Michel Baglin, il ne retient pas ses mots dans sa poche fraternelle. Il avoue aimer trinquer « en buvant cul sec l'alcool des vents ». Cette ébriété est rare, elle est rebelle et ne peut que nous plaire.