Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Civilisation profane - La perte du sacré
EAN : 9782351184264
Paru le : 19 mars 2020
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782351184264
- Réf. éditeur : 733703
- Editeur : Almora
- Date Parution : 19 mars 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 299
- Format : H:221 mm L:141 mm E:24 mm
- Poids : 400gr
-
Résumé :
La cause profonde de la décadence de l'Occident est la perte du sacré. Pour illustrer sa thèse, Jean Bouchart d'Orval revisite la notion du sacré dans les civilisations traditionnelles.
Après avoir consacré des travaux à la sagesse de l'Égypte ancienne,
à celle de la Grèce des premiers temps, et après avoir mis en lumière
la richesse de l'Inde védique, Jean Bouchart d'Orval continue ici
d'explorer les causes profondes de la décadence de l'Occident.
La grandeur et la véritable force d'une société et d'une civilisation
ne résident pas dans son économie ou sa puissance militaire, mais
dans l'intensité avec laquelle brille le sentiment du sacré en son
cœur, peu importe comment il s'actualise.
Or, la civilisation moderne est la première de l'histoire de
l'humanité à ne pas s'être d'abord érigée sur cette intuition forte et
lumineuse de l'Immensité au-delà du moi individuel imaginaire,
cette certitude d'une harmonie secrète et d'une intelligence
insondable. Seul un tel sens du sacré est apte à unir durablement
les individus et les peuples.
Tout est-il perdu pour autant ? La dernière partie du livre nous
explique comment un redressement spirituel, moral et politique est
possible. Car il y a urgence : pour la planète et pour la civilisation
elle-même. Mais la clé se trouve au-delà de tous les systèmes, toutes
les croyances et toutes les opinions.