Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Comme un jeu d'enfants - roman
Gunten - EAN : 9782914211765
Édition papier
EAN : 9782914211765
Paru le : 8 oct. 2009
18,00 €
17,06 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782914211765
- Réf. éditeur : 1-176
- Editeur : Gunten
- Date Parution : 8 oct. 2009
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 150
- Format : H:14 mm L:145 mm E:225 mm
- Poids : 212gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : La descente aux enfers de deux adolescents dépassés par leurs jeux de rôles. Un « casse » qui tourne mal, deux vies qui dérapent, une en prison et l’autre qui s’arrête sur le pavé. L’auteur Gérard Lambert, auteur du « Beau monde », talent confirmé qu’il met volontiers au service des plus petits et des opprimés. Avec des accents de Zola ou de Céline, l’écriture de Lambert n’emmène pas loin des cages mais aide à les supporter, voire à les combattre. Au bout de ses phrases des plages de liberté. La vie réelle, toile peinte pour être déchirée, est décrite comme un verre qui tremble sans cesse et partout. « Déjà, je n’ai plus d’autre histoire que celle de notre colère dont un juge a rempli son dossier d’instruction. N’ai-je donc jamais été cette petite fille espiègle qui étonnait les passants et dont la photo oubliée jaunit entre les pages d’un album, sur l’étagère du salon familial ? N’ai-je pas été cette adolescente brillante pour laquelle on déroulait le tapis rouge d’ambitions qui n’étaient pas les siennes ? N’ai-je plus pour seule identité que celle de la taularde que ses amis plaignent ou renient ? Et mon bel amour, n’a-t-il été rien d’autre que le complice qu’un avocat général stigmatisera jusque dans son cercueil ? »