Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
CORRESPONDANCE 1743-1746
Sandre - EAN : 9782914958479
Édition papier
EAN : 9782914958479
Paru le : 2 sept. 2006
11,00 €
10,43 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782914958479
- Réf. éditeur : 914958.479
- Editeur : Sandre
- Date Parution : 2 sept. 2006
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 96
- Format : H:213 mm L:137 mm E:8 mm
- Poids : 138gr
-
Résumé :
La correspondance entre Vauvenargues et Voltaire est un joyau. Deux écrivains libres se rencontrent, s’affrontentsur des positions littéraires et s’échangent des pensées. En 1743, Vauvenargues est un jeune soldat du régiment du roi à peine âgé de 27 ans et Voltaire, âgé de 49 ans, termine sa tragédie Mérope qui aura un franc succès et le rapprochera à nouveau de la cour du roi. Cette correspondance prend fin un an avant la mort fulgurante de Vauvenargues à Paris en 1747, à l’âge de 32 ans. C’est au cours de ces quatre années, pendant lesquelles les deux hommes vont s’écrire et se voir très souvent, que Vauvenargues écrira l’essentiel de son œuvre. Voltaire attend avec impatience les critiques judicieuses de son ami et Vauvenargues demande à Voltaire d’annoter ses manuscrits pour affiner ses réflexions.
La force de cette correspondance, c’est d’abord de défendre les partis pris politiques et esthétiques contre le mauvais goût de l’époque. Les révolutions se font toujours en secret, dans la volupté des conversations, une vraie passion pour la lecture, le partage des écritures et des points de vue. Le reste est superflu. Il est temps, maintenant, de restituer le dialogue de ces deux grands esprits du XVIIIe siècle.